Allons-y...(libre)

[libre à tous ceux qui veulent hormis Ayame, sojiro, et alric]

Quelques jours avant la fête d'Osaka...
Musique d'ambiance

La nuit tombé doucement sur ce petit village de la région de Saga, son nom? Quel importance pour notre voyageur qui arrivait au rythme doux et serein de sa monture, Vengeance. Oui, cet homme, katana au fourreau n'était autre que Aykkel, le malheureux déchus, le samurai renégat donc son âme n'était animé que par la vengeance et la haine.

Le cheval et son cavalier s'approchèrent de l'auberge, à l'interrieur, quelques rires, quelques chants, oui, il se faisait pas si tard que cela et la taverne regorgé des clients habituel à la bonne humeur communicative, enfin, pas pour tous.
Lorsque le renégat entra dans l'auberge, totu les rires se turent, u nsilence pesant se fit et chaque client dévisagea l'homme à la cicatrice sur l'épaule droite, fixant avidement cette dernière comme si un démon pourrait en sortire.
Mais il ne se passa rien.

Aynkkel continua de marcher pour se trouver une table, au coin de la taverne, la seul eayant encore une place. Il y avait bien quelqu'un, mais Aynkkel n'y prêta même pas attention..

Il s'y assit et attendit quelques instants, doucement, les voie reprirent ignorant l'étrange arrivant. Visiblement, il n'avait pas encore reçut son avis de recherche...
Le tavernier arriva en troninant et demanda d'une voie presque éteinte:

-Que puis-je servir à mon seigneur?
-Un Verre de Saké...Et de quoi combler mon ventre...

Le tavernier hocha la tête et partie chercher la commande. Aynkkel reporta alors son attention sur son voisin de table auquel il n'avait même pas demander, comme il en était la coutume, le droit de s'assoir près de lui.

[Je poste, vu que je m'ennuie^^]

Shinji leva la tête en entendant la chaise en face de lui être tirée en arrière. Un nouvel arrivant venait de se poser à côté de lui, ne lui prêtant aucune attention. Dans l'air ambiant, les rires et autres chansons s'étaient tues. Le travernier, un type àm oitié endormi, fit, d'uen voix quasiment éteinte:

-Que puis-je servir à mon seigneur?

L'autre répondit sans hésiter:

-Un Verre de Saké...Et de quoi combler mon ventre...

Le petit tavernier rondouillard s'éloigna au pas de course pour chercher la commande. Puis, l'étranger reporta son attention sur Shinji qu'il fixa. Le Shishi fit de même. L'homme avait de logns cheveux noris attachés en une queue de cheval, et le visage dur. Une bien étrange cicatrice était visible sur son épaule droite, et il portait une armure rouge. Shinji, lui, avait de longs cheveux blonds, et le visage tranchant. Il portait son hakama noir et, par-dessus, son shikahusho blanc. Il se gratta la crâne et brisa le mur de silence qui s'était érigé entre lui et son voisin:

Shinji: Salut, mec. Belle soirée, pas vrai?

Il porta son verre à ses lèvres et commença à en siroter le contenu, tout en fixant de son regard perçant le visage de l'autre, y cherchant une quelconque réaction.

(i]L'un des sourcils de Aynkke lse releva, il dévisagea sans la moindre retenue ni la moindre pudeur le samurai avant de répondre dun voie presque monotone: [/i]

-Si tu t'adresse a moi, évite le "mec"... Je n'aime pas les familiarité. Sinon oui, la soirée semble belle et le ciel étoilé me permettra de chevauché avec assez de lumière pour voir mon chemin.

Une fois ces paroles lché, i ldétourna le visage, comme si une différence de classe sociale les séparé. Comme à son habitude Aynkke létait hautain, après tout, pour qui se prennait ce blondinet pour lui adresser la parole.
Soudainement, les pensées de Aynkkel furent anéhentis par l'arrivé du tavernier qui tenait un bol de nouille et du saké sur un léger plateau. Il le déposa sur la table et repartie en trotinnant vers son comptoire.
Le Renégat commença alors à manger ses nouilles, ne s'arrtant qu'à quelques moments pour jetter un regard suspicieux vers la porte, attendant à tout moment une arrivée de garde à sa poursuite.

Shinji siffla et pensa:

Shinji: *Pas commode, l'armoire a glace....*

Il appela le tavernier et commanda un verre. Celui-ci lui fut donné en même temps que son voisin recevait ses nouilles. Shinji se gratta l'oreille, et observa l'étrange manège du ronchon: il jetait de fréquents coups d'oeil vers la porte, comme s'il attendait quelqu'un. Shinji sourit et lui fit:

Shinji: Tu attends ta bien-aimé, Le Balafré? (cf ta cicatrice sur l'épaule)

Soudain, avant que l'autre n'ait pu répondre, une poignée d'hommes en armure entra dans l'auberge, faisant tobmer l'aubergiste de stupeur. Shinji ricana et l'un des soldats pointa le Balafré du doigt avant de s'écrier :"C'est lui!" Shinji les regarda d'un air intterogateur, et il fut splendidement ignoré. Les hommes avancèrent, faisant tomber Shinji au passage. L'un des hommes fit:

Garde: Vous, Aynkkel, êtes recherché pour... GARGL!

Sa phrase s'acheva en un gargouillement et en un flot rouge. Le sabre de Shinji lui traversait entièrement le corps, entrant de la hanche gauche et ressortant sous l'aisselle droite. L'Assasin se releva. Son regard faisait peur et une veine de colère palpitait sur son front. Il fit:

Shinji: Bande de fils de p****, vous allez regretter l'affront que vous m'avez fait!

Il tira son second sabre et fit face aux gardes, au nombre de huit, dont un mort. Shinji fit tournoyer ses katana et se tint prêt à toute éventualité.

Ryu marchait déjà depuis quelques heures et la faim commençait à se faire sentir. Il se mit alors en quête d’une auberge où il pourra se remplir le ventre. Il fut guidé par quelques cris provenant d’une ruelle peu éclairé. Il se retrouva dans un bâtiment bondé où tout les clients s’étaient levé et entouraient un coin de la pièce. Sans se laissé démonter, Ryu s’approcha du contoire. Là se tenait un homme rondouillard tout en sueur. Apparemment, c’était la première fois qu’il se passait quelque chose dans son auberge.
Aubergiste ! Un bol de ramen et du saké s’il vous plait.
Qu … qu… comment ?
Vous servez plus les clients, ici ?
Si, si, bien sur, excusez-moi.
L’homme essuya sa sueur dans son tablier et commença a s’afférer à sa nouvelle commande. Pendant se temps, Ryu observa se qui s’était passé dans cette auberge pour mettre l’aubergiste dans un tel état. En effet, dans un coin de la pièce se trouvait deux hommes, l’un légèrement essoufflé, l’autre buvant du saké et à leur pied se trouvait huit soldat, tous mort.
L’aubergiste, toujours tremblotant, lui servit sa commande contre quelques pièces. Ryu s’installa à une table délaissé par ces propriétaires et commença à mangé tranquillement, malgré l’affolement qui s’était installé dans l’auberge.