Repère des yakuzas

Alors qu'Emiko s'apprêtait à effectuer une nouvelle attaque, un autre homme surgit de nulle part, détruisant le mur. Il ne laissa aucune chance à son adversaire et lui demanda où elle se trouvait.

-Ou est-elle!?! Dit moi où est-elle et je ne te ferais rien!!!

Alors qu'elle tentait de remettre ses idées en place, les mots vinrent d'eux mêmes sous le poids de la colère. Il avait tué sa proie, elle n'avait pas su se venger par elle même.

Qui elle?? Je vois pas de qui tu parle!!!.

Ayame qui avait pris le yakusa entre elle et son katana s’était vite éloignée de lui lorsqu’Alric avait décidé de s’en charger et elle avait eut raison, à peine l’avait-elle lâché qu’il s’était retrouvé au tapis, le timing avait été parfait. Mais à qu’elle prit ? Elle avait regardé la scène de mutilation sans rien dire, toujours menaçant le yakusa mais maintenant qu’il n’y avait plus d’otage et que les deux jeunes femmes étaient parti sans un quelconque remerciement, qui ne gêna point Ayame, elle put parler à son soldat et li dire ce qu’elle en pensait, c’est à dire un grand coup sur la tête avec toute la douceur qu’elle pouvait mettre dans l’humeur où elle était prédisposée.

"Bon… Je sais que tu es assez spécial, tu me l’as suffisamment montré mais je ne te croyais pas maso à ce point… A quoi te servira ta lame si tu ne peux plus la manier avec une main blessée… ? Ne t’expose pas ainsi aussi inutilement la prochaine fois… Je n’ai pas envie de perdre un de mes guerriers, devant mes yeux en plus, aussi bête soit-il..." U.U

Elle n’avait pas parlé avec sa grande douceur qu’on lui connaissait et avait été plutôt abrupt et dure, on pouvais voir qu’elle été un peu énervé. Elle n’avait pas apprécié de voir le sang d’un de ses hommes couler, surtout avec les capacités qu’il avait, cela aurait été tout à fait évitable, elle pensait qu’il se fichait des conséquences sur son corps et voulait voir jusqu’à quelle limite il pouvait aller, bref, elle avait eut un instant peur… Et ce sentiment qui n’était pas vraiment chez elle habituel était dure à accepter, c’est pour cela qu’elle était si dure maintenant envers lui.

"Bon… Passe moi ta main et arrête de faire le fière… ! Je sais que tu souffre atrocement, tes blessures ne sont pas superficielles, loin de là…
Et la prochaine fois que tu veux verser ton sang pour couvrir les pavés, fais le lorsque je ne suis pas à côté… A regarder sans pouvoir rien faire..." ==’

Elle avait serré fortement le tissu autour de sa main pour former une bande à ses dernier mots, elle avait déchiré ses propres affaires pour avoir le textile, qui était un très rare et très résistant très utile pour les combats, avec ça, il serait bien maintenu.

"Bon… Je vais aussi m’occuper de ton épaule… Je ne veux pas d’un handicapé avec le samurai à nos trousse pour m’inquiéter et être gêné à le protéger..."

Elle avait été clair, enfin elle l’espérait. Il fallait qu’ils se dépêchent de repartir avant d’être rattrapé par le samurai qui les poursuivait, enfin… Qui LA poursuivait… !

Assez spécial ? Comment était il censé le prendre, du bon coté ou justement en temps qu'insulte ? Allez savoir, dans tous les cas, ce qui était sur est que cette fille savait frapper là ou cela faisait mal. Son sourire c'était fait des plus embarrassé a la remarque d'Ayame, bien qu'il soit habituer a ce genre de remarque, cela faisait toujours un peu mal de l'entendre sortir de quelqu'un a qui vous veniez de rendre un grand service que celui de ne point se salir les mains du sang d'un homme. Son expression facial changeait peu a peu pour montrer a présent un certain sentiment d'amertume sur son visage, alors qu'il venait de sauver la vie d'une jeune fille ainsi que d'évitez un massacre, ses uniques remerciements avaient été cette ingratitude ainsi qu'une tape sur la tête, bah, cela avait il tant d'importance, il y était habituer depuis son enfance après tout. Ce sourire amusé et confiant que tout le monde connaissait si bien revint finalement rapidement s'afficher sur son visage, comme si de rien n'était, il se passa alors une main derrière la tête pour commencer a se gratter le crane comme a son habitude lorsqu'il se retrouvait dans une situation gênante, une sorte de réflexe en quelque sorte.

A croire que vous avez eu plus mal que moi.

Elle commença alors a lui saisir la main pour la lui bander au niveau de la coupure, il était que ce n'était pas des plus jolis a voir, l'entaille faisait presque un centimètre de profondeur et aurait presque put avec un peu plus de force lui couper net celle ci en deux. En même temps qu'elle se déchirait un morceau de sa propre tenue pour soigner son petit soldat adorer, Ayame semblait vraiment croire dur comme faire qu'il souffrait énormément. Il avait beau lui dire que ce n'était point le cas, cette dernière refuser de l'écouter en continuant de ressasser ses avertissements, il devait donc se contenter d'acquiescer a tous ce qu'elle disait en hochement nonchalamment la tête affirmativement, accompagnant parfois ce mouvement monotone d'un soupire de découragement.

Je croyais que les sentiments n'avaient rien a faire sur un champ de bataille...

Venait il de lâcher tout doucement dans un soupire sans vraiment savoir si oui ou non celle ci l'avait entendu, sa voix s'était faite déséspéré, comme s'il avait perdu toute volonté de lutter face a elle, son tic le repris alors et il se remit a se gratter l'arrière de la tête, accablé, il lui repris la parole une nouvelle fois lorsque celle ci lui demanda son épaule troué.

...Et puis si vous vous inquiétez tant que ça pour ma santé, vous n'avez qu'a me le demander clairement et j'arrêterais d'agir dangereusement en conséquence.

Bien sur, il s'agissait là d'un gros mensonge mais il espérait là juste pouvoir la calmer un peu avant de recommencer a jouer a "celui qui se saignerait le plus avant de mourir" avec ses autres compagnons de jeux.

Et soit dit en passant je vous ais déjà dit que je n'avait pas mal.

Encore un autre mensonge, même si celui ci était partiellement vrai et qu'il était vrai que son visage et ces gestes n'était pas ceux d'une personne souffrante, d'un autre coté, pourquoi il s'embêtait a lui raconter cela alors qu'elle ne l'écouterais pas, a ce niveau là, il n'y avait rien a dire, cette fille était vraiment têtue comme une mule.

Aynkkel, ivre de rage donna un puissant coup de pieds dans le cadavre encore fumant du yakuza "assassin" de chien-chien à sa maman. Un horrible bruit répugnant d'os brisé se fit entendre alors que les mains du renégat serrait encore plus fortement son Katana, cette fille se moquait de lui, ou alors elle ne les avait pas vue.
Oui, cette femme n'était aux yeux de Aynkkel qu'une gamine, a peine sortie de l'enfance qui faisait sa dure, une petite blonde écervelée sans aucune jugeote...

Ne daignant plus aucun regard à la jeune femme, il regarda autour de lui, tentant d'essayer de se repéré, mes ses sens état embrumé par la haine tenace qui le tirailler et par les flammes qui commençait à lécher le mur derrière lui, l'entourant dans une lueur apocalyptique rougeâtre et le nimbant de fumé.
On aurait dit une scène de théâtre, un quelconque forain faisait son tours, si ce n'est que là, le forain avait le visage couvert de déformé par la haine et qu'il tenait fermement contre lui un Katana et qu'il comptait bien s'en servir.

Il dépassa Emiko , la bousculant sans y prêter attention, son visage toujours aussi fermé, sa respiration presque haletante puis, soudainement, il se mit à hurler, sa voie devenue brute, féroce, semblable à un animal ayant pris apparence humaine :

-ASSASSIN !!! Viens ! Viens Voir Ma Haine ! Chien de L'empereur! Viens voir ma Colère !!

Le samurai baissa légère la tête, ce crie, que dis-je ! Ce hurlement était similaire à ceux des loups qui cries à leur proie que leur fin est proche. Aynkkel n'avait qu'une seul idée, la tuée, tuer cette inconnu et pour cela il mettrais le japon à feu et à sang. c'est sur cette pensée, il commença a faire le chemin inverse d'Emiko...

Emiko resta figée un instant, cette scène était vraiment horrible, son cri déchirant. Elle fut bousculée et recula de quelques mètres alors qu'elle était sur le point de tomber. L'homme s'en allait sur le chemin inverse au sien, bientôt il rencontrerait Leya et cette pensée lui fit peur. Et si Leya tentait de l'empêcher de passer, elle le ferait sans aucun doute parce qu'elle ne supporterait pas l'idée que les personnes se trouvant là bas, certaines l'ayant aidée alors qu'elle "tait dans de sales draps, puissent mourir si bêtement sans qu'elle n'ait rien pu faire. Elle réfléchit un instant puis alla auprès de Toshi pour voir comment il allait, sa blessure était profonde mais rien de bien trop grave. Elle passa sa main sur la plaie, il y avait beaucoup de sang, il fallait l'arrêter. D'un mouvement sec, elle arracha un morceaux de tissu, celui se trouvant à son épaule blessée et à peine refermée puis banda le loup blanc, il avait du mal à respirer mais elle ne pouvait rien faire. Débarrassée de ce tissu qui la dérangeait, bien qu'à présent ses ennemis connaitraient un point faible, elle se sentait un peu mieux. Elle passa sa main sur son visage, le sang s'y imprégna encore plus et se leva, promettant à Toshi de revenir le chercher. Elle couru vers l'homme aussi rapidement qu'elle put, il ne fallait pas que Leya soit blessée.

Hé toi, reviens deux minutes

Il ne devait pas l'entendre derrière son rideau de haine sanglante, elle pouvait le comprendre elle qui cherchait vengeance pour la mort de son père.

Ho LE MONSTRE TU M ECOUTE!!! FAUT QU ON CAUSE!!!

Elle faisait vraiment n'importe quoi mais si cela pouvait aidé, tant mieux. Elle ne voulait pas qu'il y ait d'autres victimes que ces fichus yakuzas.

Ayame laissa parler Alric sans s’arrêter pour autant d’essayer de refermer ses plaies, il pouvait dire ce qu’il voulait, elle savait parfaitement de quoi il en retournait pour être déjà passé par là elle aussi. Elle finit enfin par lui bander l’épaule du mieux qu’elle le put par un nœud et recula pour voir le travail un sourire sur le visage.

"Voilà ! Tu dois te sentir mieux maintenant… Bon, ce n’est pas vraiment extra mais c’est tout ce que je peux faire pour le moment, donc il faudra que tu t’en contentes jusqu’à qu’on te soigne plus correctement."

Elle se passa un revers de main sur son front pour essuyer quelques gouttes de sueur froide, laissant une grande marque rouge due au sang qui lui couvrait les mains à la suite du soin apporté à Alric. Celui-ci devait la trouver froide et ingrate de lui avoir parler ainsi mais c’était sa façon de faire, elle n’avait jamais été douée pour les relations humaines et ne le serait probablement jamais à cause de la part de ténèbres qui lui restait en elle depuis ce triste jour.

"Bon, on va pouvoir reprendre la mission…."

Elle se retourna prête à repartir mais s’était stoppée avant de faire un pas devant elle, dos à son assassin de l’ombre elle resta quelques instant dans le silence avant de rajouter doucement :

"N’en fait pas trop… Et si tu me le demande dans ce cas oui, arrête d’agir dangereusement… ! Et puis…. Aussi…."

Elle leva la tête un peu plus en hauteur pour regarder l’escalier qui se dressait devant eux et qu’ils allaient emprunter dans l’instant.

"…. Merci pour avoir régler cette histoire sans faire de victime..."

Après cette seconde de gentillesse étonnante pour elle-même, elle rajouta sur le ton qui lui était habituel.

"Mais cela n’empêche pas que tu en fais toujours trop… ! Allez on est repartit ! A rester là on va tomber nez à nez avec ce samurai…"

Elle commença à monter l’escalier, arriver vers la fin, deux yakusa l’attendaient cachés pour lui asséner un coup de sabre qu’elle esquiva facilement en zigzagant entre les coups pour dégainer rapidement et leur porté un coup rapide et précis qui les fit ramper par terre sans qu’ils aient compris d’où était parti le coup. Elle rengaina dans un bruit métallique son katana qu’elle avait sorti avec le "cling" de fin qu’elle adorait tant entendre pour signifier la fin d’un combat. Un des yakusa avait reçut le coup tellement fort qu'il était partit en arrière dans la rembard de l'escalier et l'avait litéralement explosé pour retomber plus bas.
Après s'être époustée rapidement, Ayame allait reprendre sa course et entra dans un couloir plutôt sombre en espérant que celui-ci le mènerait vers le chef et qu’ils en finissent rapidement.

Leya entendit au fond du couloir un mur qui s'effondra suivit de nombreux bruits puis inquiétants les uns que les autres, aussitôt stoppés par un seul bruit lourd. Une lumière atteint ses yeux, les murs devaient être bien amochés. Puis elle entendit un cri monstrueux et des pas lourds s'approcher et la voix d'Emiko qui l'appelait ainsi que le cliquetis habituel de ses chaussures sur le sol; elle criait fort comme si elle cherchait à attirer son attention et l'empêcher d'avancer, quelque chose clochait. Quelques minutes plus tôt elle criait de tristesse et maintenant sa voix semblait plus assurée, plus forte et déterminée. Leya commença à s'inquiéter véritablement et courut droit vers l'endroit où devait se trouver Emiko jusqu'à ce qu'elle se retrouve nez à nez avec un homme très grand, enfin pour elle il l'était. Il était vraiment effrayant tant la haine se lisait sur son visage. Incompréhensible, qu'est ce qu'un homme comme lui allait faire de ce côté??? Les cibles étaient pourtant vers l'intérieur!!! A moins qu'il ne soit un yakuzas lui aussi??? Impossible, il aurait déjà tué Emiko. Leya attrapa son katana et lui barra la route, temps qu'elle ne comprendrait pas, elle ne bougerait pas de là.

Aynkkel ne prêtant même pas attention aux paroles de la jeune femme au loup, Aynkkel avait avancer de quelques pas, frustré de n'avoir eut aucun échos, sa haine le consumant, il faisait déjà un effort surhumain pour ne pas tout mettre en ruine, pour ne pas trancher la gorge de l'animal et de son propriétaire, il essayer de maintenir avec le peut d'humanité qui lui restait un semblant d'être humain, car, s'il s'abandonner au massacre, s'il s'abandonner à la haine, il détruirais cette maison, tout ses occupants, puis les maisons à côté, passant tout le monde sous le fils de l'épée, encore encore te encore, jusqu'à ce qu'il s'effondre de fatigue.

Alors, vraiment, si l'inconnu à la claymore ovulait vivre, il vallait mieux qu'elle se taise et vite! Soudain, alors qu'il allait continuer sa traque, il se trouva nez à nez avec, euh, encore une femme? Depuis quand les repères yakuza étaient devenue des lieux de rencontres féministes?
La respiration de Aynkkel tenta de ralentir, ses yeux presque injecté de sang détaillant la femme qui lui barrait la route, katana à la main.

Après la blonde au chien-chien, on avait...Euh, la violette qui ne comprenait pas que sans bandeau sur les yeux, on y voyait mieux. Non, trêve de plaisanterie, Aynkkel détaillait la jeune femme comme une proie, cherchant les erreurs, cherchant les points faible. Elle devait être agile, rapide, mais peut résistance vue sa carrure, pas une samurai, un entraînement profane. Aucune protection sur elle, donc, elle comptait sur l'esquive ou la parade.

Soudainement, d'un mouvement sec, presque militaire, Aynkkel se mit en posture de combat, pointe vers la gorge de l'adversaire, main gauche directrice, pas droit avant, légèrement fléchis, pieds gauche derrière, jambe tendu, talon non au sol, prêt à s'élancer. Bref, l'entraînement spartiate qu'il avait reçut était visible. Il la menaçait car elle le désignait de son arme. il souffla quand même ses yeux fixant le bandeau de la jeune femme, il arrivait a voir ses yeux dissimulé sous le tissus, mais, en apparence il la fixé, un vrai samurai sais qu'il ne fixe pas son adversaire, mais regarde la montagne qui s'élève derrière. Il souffla cependant, son regard toujours aussi...haineux...

-Ecoute moi gamine, ta le choix, où tu te barres voir mieux, ut me balance ou s'est barré cette salo** aux cheveux noirs, où tu meurs ici...Ta dix seconde...Aynkkel balança aussitôt à Emiko,Quand a toi, tente pas de me retenir, oui, je suis un monstre et si tu veux pas te faire dévorer ferme ta gueule et embarque ton clebs, car les flammes avancent vite....

Oui, oui il était devenu un monstre, un mercenaire, un renégat, un être ignoble à cause de deux personnes. L'une l'avait transformé, l'autre l'avait enfoncé, l'empereur et cette femme, les deux coupables... Ah oui, les propos de notre "samurai", dur, tranchant comme l'acier, et pourtant, un être expert aurait put y déceler de la gentillesse, il avait remarqué que le loup était blesser, et il lui conseiller de l'emmener autre par qu'ici pour le sauver... Mais chaque sert les autres à sa façon...
La voie du renégat s'éleva :

-1...2...3...4...

Lentement, il commençait le décompte, laissant la jeune femme maître de son destin alors que les secondes s'écoulait au rythme des battements de coeurs

Lorsqu'elle arriva, elle vit Leya en position d'attaque ce qui était très mauvais. L'homme décrivit celle qu'il recherchait, elle en savait plus à présent. Puis il lui annonça assez froidement et par sous entendus qu'il la tuerait si elle se mettait sur son chemin. En effet, elle avait laissé Toshi loin derrière, près des flammes mais elle le connaissait et savait comment, il allait réagir, il était un battant ce loup; il tiendrait. Malheureusement, Emiko ne pouvait pas lui laisser le chemin libre et elle ne voulait pas qu'il arrive quoi que ce soit à Leya. Elle ne connaissait même pas les raisons qui le poussaient à agir de la sorte, comment il avait put devenir ce monstre qu'elle voyait là devant elle. Cependant, elle sentait qu'il y avait encore de l'espoir, derrière la haine il y avait une certaine affection...Celle ci le poussait à demander à la jeune fille à la claymore de sauver son loup, il fallait lire entre les lignes.

Leya, fiche le camp d'ici. Occupe toi des Yakuzas s'il te plait.

Elle voulait à tout prix éviter un massacre inutile, ou alors cherchait elle un adversaire à sa taille?? Non, les adversaires qu'elle cherchait c'était les ninjas qui avaient détruis sa vie, elle cherchait certes un peu de vengeance et de réconfort dans les combats lorsque ceux ci étaient nécessaires mais ce n'était point son genre de le chercher pour se faire plaisir. Cet homme, sans comprendre pourquoi, elle voulait l'empêcher de sombrer dans une haine qui le dévorerait à petit feu avant de le plonger dans le remord...

Qu'est ce que tu veux à cette femme aux cheveux noirs?? Qu'a t'elle fait pour te rendre aussi haineux et monstrueux??? Elle a vraiment agit de manière si horrible pour qu'elle mérite de mourir de tes mains???

Ses paroles, elle aurait pu se les retourner mais elle savait pertinemment que son âme à elle était déjà brulée partiellement par la haine, sans doute cherchait elle à l'empêcher de devenir comme elle, peut être avait elle peur de finir comme lui...Elle s'en fichait, elle voulait juste qu'il ne fasse pas ça, qu'il ne commette pas cette erreur qui le hanterait!!! Sur le moment la satisfaction est toujours grande mais ce qui suit ne l'est pas elle en avait fait l'expérience lorsqu'elle avait tué tous les ninjas présent en ce jour si triste, depuis qu'elle ne pouvait plus avoir de contact humains. Ses pensées se bousculaient dans sa tête, que devait elle faire?? Que dire??? Pourquoi faisait elle cela??? Tout était trouble la seule chose qu'elle distinguait clairement c'était le bout de sa lame, l'homme en face d'elle et Leya de l'autre côté. Il ne fallait pas qu'elle soit touchée, elle devait détruire les yakuzas tandis qu'elle empêcherait cet homme d'accmoplir ce crime odieux, comme elle dans le passé.

Il la fixait de dos tandis qu'elle commençait a emprunter un escalier qui la mènerait surement directement a leurs but, ou du moins a son but, lui avait d'autres idées en tête bien plus importante que de s'occuper de ce petit chef bandit de seconde zone. Il la suivait donc de près quand celle ci entama son ascension des marches, il s'était soudainement arrêter, sans bruit, un bruit venait de retentir non loin de là, et Alric en connaissait parfaitement la cause. Toujours souriant, il disparut sans bruit ne laissant aucune trace derrière lui, elle se débrouillerais très bien sans son aide, s'il s'agissait juste de mater les yakuza, il lui faisait confiance. Il se trouvait a présent au milieu du précédant couloir, le visage baissé, il enleva alors le bandage que venait de lui appliquez soigneusement Ayame au niveau de l'épaule pour le laisser tomber sur le sol, a peine quelque minute qu'il avait été apposer dessus qu'il était déjà totalement saturer de sang, il fallait bien le dire cette plaie n'était pas des plus belle a voir, mais ce bout de tissu le gênerait bien plus qu'autre chose.

Il venait donc de faire marche arrière pour déboucher une nouvelle fois d'un pas lent dans le couloirs précédent, il se dirigea alors dans la direction d'où il lui avait sembler provenir les cris, exactement la même direction que celle qu'avaient emprunter les deux jeune filles de toutes a l'instant. S'il ne s'était pas trompé et que cette bête sanguinaire se trouvait bien dans cette direction, il était fort probable qu'il soit déjà tombé sur elles et qu'elles se trouvent dans une bien mauvaise posture. Il posa son bras ensanglanter par sa blessure a l'épaule dans son Haori noirs avant de se mettre a marcher dans la direction du samurai, toujours de la même allure nonchalante, seulement une vingtaine de seconde lui suffirent pour rejoindre le lieu du rassemblement. Le samurai se trouvait encerclé par les deux jeunes filles, arme dégainer, elles semblaient s'apprêter a donner l'assaut tandis que l'homme venait de lancer un décompte fatal. Alric se décida finalement a s'avancer après les avoir regarder sans bouger un petit instant, le visage toujours baisser, il venait alors de reprendre le compte a rebours a la place du renégat, ne cessant de marcher.

7...8...9...10.

En même temps qu'il venait de terminer de compter, Alric s'était placer entre cette Leya pour évitez pour la deuxième fois un massacre inutile, il faisait a présent face a l'homme en face de lui sans avoir encore relever son visage. Il pouvait tout de même entrevoir la figure de son futur assaillant, ou du moins il aurait pu si celle ci n'avait pas été complètement couverte de sang, rien a dire, il avait autant l'attitude que le visage du démon. Son regard empli de haine ne laisser présager rien de bon tandis ses muscles tandis a leurs paroxysme démontrait d'une certaine rage, a croire que son cœur devait s'emballer a un point tels qu'il risquait d'éclater a tous moment, il devait vraiment détester la jeune dirigeante de Satsuma a un point non négligeable. Il redressa finalement la tête pour enfin dévoiler un petit sourire emplie de confiance et de réjouissance, le genre de sourire hautain des plus déplaisant de par la froideur qu'il s'en dégageait et donnant envie a quiconque de l'effacer même par la force de se visage. Toujours sans sortir son bras de son haori, il fixait a présent droit dans les yeux cette bête se tenant devant lui, les sabres toujours rengainer, il était pourtant parer a passer a l'assaut a tout moment.

Qu'est ce qui se passe les dix secondes écoulé ?

Demanda il alors a voix haute, la voix insolente et provocante, il continuait d'ignorer les deux jeunes femmes comme s'il ne pouvait ou ne voulait les voir tandis que ses yeux ne cessait de fixer intensément ceux de cet homme, le sourire au visage, impatient de voir la réaction de celui ci.

Leya regarda tout d'abord Emiko, elle semblait décidée et elle n'aurait pas voulu la froisser. Son regard était confiant et aussi craintif, on aurait juré qu'elle se reprochait quelque chose mais quoi?? Quoi qu'il en soit, elle la laisserait faire à sa guise, enfin c'est ce qu'elle avait l'intention de faire jusqu'à ce que l'homme qui l'avait sauvée n'apparaisse et ne se mette entre elle et le samurai enragé. Tout ceci ne semblait pas bon, le samurai en avait donc après la jeune femme de tout à l'heure, celle qui avait elle aussi voulu la sauver. Elle ne pourrait rien faire fasse à lui, Leya était certes une bonne élève mais elle n'avait pas assez d'expérience pour vaincre ce monstre malgré son intelligence au combat. Elle baissa les yeux et rangea son arme, espérant de tout cœur qu'il n'arriverait rien à Emiko et au jeune homme. Elle croisa une dernière fois le regard d'Emiko, enfin Emiko ne pouvait voir le sien, et lui sourit. Elle soupira et finalement se retourna pour partir en courant vers la jeune fille au cheveux noir, l'aider à accomplir la mission qui lui avait été assignée. Elle apparut à elle dans le couloir, un corps se trouvait dans l'escalier. Elle ne semblait pas consciente du fait que l'homme devant l'accompagne ne se trouvait plus derrière elle.

J'espère que cela ne vous arrive pas trop souvent de perdre vos hommes, celui ci risque de perdre la vie en essayant de vous sauver des griffes d'un monstre enragé.

Elle espérait seulement avoir attiré son attention sans trop l'inquiéter mais elle savait que ce ne serait pas le cas.

Alors qu'elle s'attendait à une quelconque réaction, Alric apparut, l'empêchant encore une fois d'agir à sa guise.

*Toujours là quand il ne faut pas...A croire qu'il ne veut pas que je me batte*

Elle le dévisagea un moment puis elle regarda Leya qui, comme elle lui avait demandé, s'éloigna rapidement. Il ne restait plus que l'homme enragé et Alric. A présent elle se sentait mieux, pas tout à fait mais mieux tout de même. Elle attendait que l'homme bouge ou ne parle, enfin quelque chose. Elle regarda à nouveau Alric, il semblait s'amuser contrairement à elle qui pour une fois prenait ça très au sérieux.

HRP: pas inspirée ><

ce repaire de Yakuza était devenu un lieu mondain ou quoi? Non, enfin, je veux dire, on a trois jeunes femmes, un pseudo garde du corps qui se balade et un samurai enragé ivre de colère. Franchement, pour un repaire de bandit soit disant gardé, il faudrait mieux que les dit brigands changent de métier.

Enfin, il semblait bien que les nouveaux arrivant souhaitaient tous lui couper le passage. En effet, à peine l'étrange demoiselle "violette" partie, il y avait déjà un rigolo qui lui prenait sa place. Ce dernier était bien différent, visiblement maitre d'arme, il avait une posture qui laissait deviné un entrainement dur, sa démarche semblait assuré, mais il ne pouvait dissimuler sa blessures qui le rendait sans condition plus faible que lui. Car bien que couvert de sang, les seul blessures du renégat était quelque entaille par-ci, par-là. En sommes rien de bien méchant.

Imperceptiblement, la lame du katana changea de cible pour viser la gorge du jeune homme. Il lui rappelait quelque chose cet homme, peut être était-ce dut à la haine ou à la fumée, mais son esprit embrumé n'arrivait pas à mettre un nom, il n'arrivait pas à se souvenir où il l'avait vue, où il l'avait connu, pourtant, ce visage, cet attitude nonchalante, cette voie, elle lui disait quelques chose...
Il souffla d'une voie inhumaine à la jeune femme :

-Je veux juste qu'elle meurt, rien d'autre... Quand au raison, elle me regarde.

L'ancien soldat de l'empereur fixa avec un peu plus d'intensité Alaric, tentant de se souvenir de ce visage. Il n'y arrivait pas, tant pis, il le tuerais sans la moindre hésitation il lâcha alors d'une voie à peine plus humaine :

-Elle mourrait...Mais elle à fait le bon choix, si tu veux vivre, pousse toi, sinon, tu pourras dire aux Dieux que tu as perdu la vie par Aynkkel...

Il avait dit son nom pour deux raisons, premièrement, pour voir si Alaric le connaissait, deuxièmement, pour voir si parmi les deux jeunes l'un deux connaissait son histoire, Aynkkel, recherchait dans tout le japon pour tentative d'assassinat sur l'empereur, ancien maitre d'arme au service du dit Empereur, combattant vétéran. Ça c'est ce que savez une bonne partie des gens qui le connaissait, les autres, plus au courant savez qu'il avait vu sa famille détruite par l'empereur alors qu'il le servait, qu'il avait tenait de le tuer, qu'il avait raté in extrémiste sa tentative et qu'il avait reçut une balle dans l'épaule. restait à savoir quel type de personne il avait en face...

L'homme leur annonça son nom, le visage d'Emiko changea, enfin elle comprenait ce qui le poussait dans une telle rage...Mais elle ne voyait pas pourquoi cette femme, en fait elle ne la connaissait pas donc ne pouvait pas tirer de conclusions. Cet homme était prêt à tout en tout cas pour parvenir à ses fins. Emiko ferma les yeux et baissa la tête, rien ne pourrait l'en empêchait, par expérience passée elle le savait très bien. Le visage de son père et sa sœur lui revint en mémoire, ainsi que les corps des ninjas qu'elle avait tué par vengeance. Elle resta silencieuse un long moment puis fit un pas, elle savait qu'il se retournerait et attaquerait, en effet il ne pouvait pas ce douter qu'elle n'avait pas l'intention d'attaquer vu qu'elle se trouvait derrière lui et elle était armée. Enfin soit, elle s'avança lentement vers lui.

Toi aussi tu as perdu ta famille mais accomplir un tel acte ne te la rendra pas, tu en souffrira d'autant plus. Tu aura assouvis ta soif de vengeance mais tu vivra dans le remord et la solitude à moins de trouver quelqu'un qui accepte facilement le fait que tu aie tué tant de gens. Ca fait mal de perdre quelqu'un, je le sais très bien. Et ça soulage de tuer, ça aussi je le sais mais ça ne sert absolument à rien à part nous rabaisser au niveau des coupables. Tu ne devrais pas faire ça Aynkkel!!!

Elle se trouvait à un pas à peine de lui, n'importe quoi pouvait arriver à présent mais qu'importe, si elle pouvait le faire réfléchir ne fut ce qu'une seconde à l'erreur qu'il allait commettre, elle s'en sentirait mieux.

Idiote.

Venait il de marmonner a voix basse en entendant le petit discours de cette femme, il était déjà trop tard pour le raisonner, cet homme avait déjà vendu son âme au diable pour devenir la bête sanguinaire qu'il est a présent. Aynkkel, qu'il conaissait pourtant si bien il y a de cela quelque années, était devenu un démon a part entière le jour même ou son honneur fut bafouer, et il lui était dés a présent impossible de revenir en arrière, sa seul porte de sortie se trouvait être la mort. Il n'était plus question de simple vengeance, c'était devenue une véritable vendetta personnel. L'ex soldat venait alors de se tourner dans sa direction, pointant sa lame comme par avertissement avant de lentement se mettre en position de combat, sa posture frôlait la perfection même. Sans était presque impossible, une telle rigueur dans les gestes, seulement peu de maitre d'arme était capable d'atteindre une telle perfection, a croire qu'il avait appris a parfaire les mêmes mouvements tout au long de sa vie pour tenter d'atteindre l'excellence même sans jamais fléchir ne serait ce un instant.

Au cours de sa vie, il n'avait connue qu'un seul homme capable de mettre une telle rigueur dans le travail, il avait été amis il y a de cela de nombreuse année, mais c'était d'ors et déjà un temps bien révolu, i l'avait rapidement perdu de vue, bien que leurs idée furent identique, leurs chemin eux était bel et bien différant et divergeait au fil du temps jusqu'à ce qu'il disparaisse un jours l'un de l'existence de l'autre. Bah, de l'eau avait couler sous les ponts depuis et ressassé inlassablement le passé était inutile, l'important était de se fixer sur le présent, présent risquant d'ailleurs d'être fortement raccourci a cause de cet importun personnage. A première vue, il avait l'air d'être du même niveau, peut être même que l'un des deux combattant surpasser très légèrement l'autre, seulement ici, l'issu ne faisait aucun doute, Alric de part son état n'avait aucune chance de survie. Malheureusement pour son adversaire, il n'y avait aucune dignité dans la mort et Alric n'avait absolument aucune envie de mourir maintenant, c'était pourquoi il allait tuer cet homme lui faisant front et retourner a sa petite routine habituel.

Aynkkel hein ? Qu'est ce que tu crois que j'ai a faire de ton nom ?

*Ça fait une paye...Harima*

Bien, laisse moi t'apprendre ou est ta place a présent.

Venait il de dire en sortant son bras ensanglanté de son Haori troué au niveau de l'épaule, de même que la chair qu'il était censé recouvrir. Une telle assurance se dégageait de cet homme, comme si malgré sa mince chance de s'en sortir vivant il était certain de gagner se combat, il n'y avait absolument rien a dire, cette arrogance et confiance dont il faisait preuves était des plus déplaisante et déstabilisant, comme si on ne pouvait jamais savoir ce qui pouvait bien se passer derrière cette petite tête hollandaise. Son bras pendant a présent le long de son corps, il fit lentement craquer sa nuque en penchant de chaque coté sa tête pour alors porter tout aussi nonchalamment sa main au sabre accroché a son dos, il l'en sortit alors de son attache pour fléchir soudainement ses jambes en même temps qu'il portait au niveau de sa hanche gauche son épée. La poignée incliné en biais vers le sol et la main droite directrice proche de celle ci, paré a s'en saisir a tous moment, le pied droit en avant et les jambes fléchie, la tête alors baissé, son sourire demeurait toujours, une posture propre a lui même exécuté a la perfection bien que cela faisait bien longtemps qu'il n'ait plus répété ce geste. D'une impulsion puissante, il réduisit rapidement la distance se trouvant entre lui et Aynkkel pour dégainer subitement, le coup fut exécuté a une vitesse des plus conséquente tandis que sa lame fusait en direction du coup de son ancien ami.

*Voyons maintenant si ton Kenjutsu arrive toujours aussi bien a parer mon Iai*

Iaijutsu, action de dégainer le sabre pour trancher l'adversaire en un unique coup, cette technique d'ors et déjà très dangereuse devenait des plus mortelle lorsqu'elle se trouvait être utilisé par un maitre de cet art. Alric lui était devenu un tel maitre seulement a l'age de 17 ans, un véritable prodige pour certains, un démon pour d'autres, il n'importait qu'il n'avait jamais manquer un seul de ses coups et que chacun de ses adversaires trépassait a l'instant ou il dégainait de par la brutalité ainsi que la vitesse d'exécution de ses frappe. Un seul homme avait été capable durant ses 10 années de vagabondage a parer ses coups en allant même parfois jusqu'à le vaincre, cet homme se trouvait aujourd'hui devant lui, décidément, le hasard faisait bien les choses. Au moment ou il lui annonça son nom, il lui aurait bien sauter dans les bras, mais les circonstance avait fait telle qu'il c'était retrouver tous deux dans un combat a mort. Malgré ce petit sourire constant, Alric n'en demeurait pas moins des plus sérieux, Aynkkel ne s'était pas encore rendu compte de son identité et semblait déterminer a passer tandis qu'Alric lui était tout autant déterminer a le stopper, ce combat serait une lutte de volonté et d'endurance.

Et voila, la blondasse de service pensé pouvoir jouer les psy de service. Franchement, c'en était pathétique, ou alors drôle, je ne serais me décider. En tout cas, elle faisait une grossière erreur.
Elle pensait qu'elle pouvait le sortir de cette folie, elle imaginait qu'elle pouvait le "sauver", quel idiote, il ne pouvait être sauvé, nul ne pouvait l'arrêter, même la mort. Oui, il n'avait qu'un seul objectif, tuer la jeune femme, tuer l'empereur et mourir. La seul chose qui l'empêcher de mourir était cette volonté d'accomplir sa vengeance. Car, rien, non rien ne pouvait le retenir à la vie. Pas de femme, plus de famille et la seul chose dans laquelle il avait crut l'avait trahis. Alors pauvre Emiko, oui, pauvre de toi, tu ne peux comprendre ce monstre en face de toi...

Aynkkel se retint cependant de ne pas donner un rapide coup de Katana à la jeune femme qui s'approchait à son goût bien trop près, oui, il aurait volontiers envoyer la tête de la blonde voler quelques mètres plus loin pour son arrogance à vouloir le comprendre mais face à lui, un plus gros poisson. Bien plus fort, bien plus entraîner.
Soudain, alors que l'individu au cheveux jais e mettais en posture de combat, il attaqua, un coup parfait, rares étaient ceux à pouvoir le faire, et encore plus rares ceux à le maîtriser avec autant de perfection, Aynkkel était presque subjugué par un tel acte, on aurait dit que son adversaire ne faisait qu'un avec son Katana. Mais, oui, il y avait un mais, l'assassin de l'ombre n'avait pas à faire à un simple yakuza ou un samurai de seconde zone, il avait face à lui un véritable maître du Katana, un ancien serviteur de l'empereur, d'ailleurs, quand la lame arrive vers lui, il exécuta ce que son corps faisait, mue par un propre instinct...

Je vais tenter de vous décrire ce mouvement, voyez vous, la position de garde kendo implique une "suspension" sur les pieds, permettant ainsi de "bondir" vers l'avant, ou l'arrière, et bien, en l'occurrence, notre "kendoka" fit un bond en arrière,un léger mouvement de poignet vers le bas permis à sa lame de détourner le coup.

Ce "bond" l'avait a mener à hauteur de la jeune femme, et sans le moindre ménagement, il donna un puissant coup de coude en direction du visage de la jeune femme. Soit elle le parait et sous l'impacte tombait au sol, soit elle le parait pas, se voyait le nez brisé et tomberais au sol aussi. En la faisait reculer, il s'assurer non seulement un adversaire potentiel de moins, mais surtout un espace plus grand pour pouvoir se battre.
Sans même porter attention à la femme au loup, il fixa Alaric, oui, cette posture, ce coup, de toute sa misérable vie bordée par le mensonge, il n'avait connu qu'un seul homme capable de faire ce geste....

Alaric...

Comment était-ce possible? il était donc avec cette femme, hum, le destin est donc bien cruel, oui, peut être même trop cruel... Bien, Aynkkel connaissait légèrement le style du dit Alaric, attaque au sol, rarement à la poitrine, une garde bonne, mais pas assez au goût du renégat, alors deux choix, garde haute ou basse? Hum...Prenons basse, au début pour le juger, elle lui permettrais de mieux parer.
Garder la même posture du buste, il baissa sa lame, pointe vers le genou, lame légèrement en biais. Il lâcha d'une voie presque amusé :

-Alaric...C'est cela non? Cela faisait longtemps... Laisse moi passer, tu sais bien que tu ne peux gagner, tu es blesser, et je ne te veux pas de mal..Je ne vais pas tuer un...'Ami"

Ami, comme si il avait encore des amis depuis qu'il avait tenter de tuer l'empereur, quel dommage de devoir abattre cet homme formidable, un bon guerrier, l'un des meilleurs même, il était fort, droit, puissant, et, il avait une dette en vers lui. Enfin... Le renégat continua de sa voie forte :

-Tu sais toi que je ne peux faire machine arrière, je n'ai plus que la vengeance...Laisse moi la tuer elle et l'empereur, et ensuite, je me laisserais tuer... Qu'en dis-tu? Mieux, je te laisserais me provoquer en duel, ton épaule ira mieux, tu te bâteras avec efficacité et tu auras la gloire de ma mort...

Emiko tenta de parer le coup du samurai mais elle fut projeter au sol en raison de se puissance. Elle savait que ça ne servait à rien et pourtant elle avait essayé. Stupide elle devenait depuis quelques temps. Il fut une époque où elle aurait foncé dans le tas sans réfléchir, tuant tout se qui se trouvait sur son chemin, la discution n'avait jamais été son fort. Tant pis, elle le laisserait se battre avec Alric, son ami apparemment. C'est ce qu'elle voulait faire jusqu'à ce qu'elle entende un certain mot...Empereur!! Alors il faisaient partie du groupe des Ishin shishi!!! Elle repensa à sa mère, sa mère dont elle ne savait qu'une seule chose à part son nom, qu'elle faisait anciennement partie de ce groupe!! Elle se remit à réfléchir, sa dernière idée quant à la mort de sa famille était le lien entre le fait que son père était un mercenaire et que sa mère avait abandonnée les Ishin shishi pour lui!!! L'empereur avait il un lien quelconque avec la mort de sa famille??? Elle ne devait pas penser à cela maintenant, elle y réfléchirait plus tard. Elle essaya de se relever, les étoiles dansaient devant ses yeux. Elle parvint finalement à se mettre debout grâce à sa claymore et elle regarda les deux hommes tout en se frottant le visage. Elle avait beaucoup de chance d'être encore éveillée, il aurait pu mieux viser et l'assommer, voir la tuer. Enfin elle n'était pas blessée, juste un peu sonnée. Entendit Toshi crier, non pas de souffrance non. Comme si la lune était là, qu'il s'apprêtait à chasser...Ou plutôt à alerter d'un danger!!!

Elle eut juste le temps de se retourner pour voir cinq hommes arriver en courant, suivis par des flammes. Un des cinq yakuzas se mit devant les autres.

Hé vous!!!

Quoi nous??? Vous avez l'intention de nous attaquer??? Sérieux, je pense pas que ce soit une bonne idée, vous avez là un monstre assoiffé de vengeance, un mazo à la limite suicidaire et heu...Une femme blessée. Je ne pense pas que vous ayez une quelconque chance...

Alors qu'elle parlait sans s'arrêter comme un moulin à parole, l'homme attrapa son katana et fit une entaille juste au dessus de sa poitrine, peu profonde mais assez longue tout de même.

*Et voilà, encore une fois j'ai parlé alors que c'est pas mon genre, je suis encore blessée...Père aurait honte de moi*

Elle passa son doigt le long de la blessure et lécha le sang qu'elle récupéra avant de regarder l'assaillant d'un œil étrange.

*Je ne peux pas le sauver, je le sais...Je n'empêcherais pas ce combat, loin de là. Ces hommes ne doivent pas interférer*

Un sourire s'afficha sur son visage, elle était sereine, oui sereine alors qu'elle risquait de se faire tuer mais qu'importe, elle avait décidé d'aller jusqu'au bout de la mission imposée et offrir à ces deux amis l'opportunité de se combattre sans interférence.

L'homme la dévisagea stupéfait, Emiko ne bougeait pas, enfin pas encore. Soudainement, elle leva sa lame et la tête de celui ci tomba. Un autre arriva droit sur elle, de son katana il visait sa tête, grossière erreur, sa claymore était si grande qu'elle pouvait parer ses coups, voir les prévoir. Pour la vaincre il faudrait être suicidaire ou jouer sur la stratégie or il n'y en avait aucun dans ce tas qui en soit capable à part le chef et il ne se trouvait pas ici de toute évidence. Elle jeta un regard en biais aux deux amis puis regarda à nouveau ses assaillants en souriant. Il en restaient trois, elle espérait qu'aucun n'arriveraient à passer. Ils étaient se proie à elle.

Alric avait le bras tenant son épée tendu sur le coté, sans bouger, le visage toujours baisser, un éclair de sang jaillit soudainement de l'épaule de celui ci sans qu'il ne laisse pour autant montrer le moindre signe de douleur, a vrai dire il n'avait pas très mal, les blessures faisait partit de la guerre, et un bon guerrier devait savoir faire abstraction de la douleur, les meilleurs et plus puissant arrivant même a l'utiliser pour se renforcer. Il se redressa finalement au bout d'une dizaine de seconde d'attente dans le vide pour alors rengainer avec grâce son sabre dans son fourreau, il levait a présent les yeux en direction de Harima. Il le fixa ainsi longuement sans rien dire, ni bouger, se contentant simplement de l'observer. Le visage toujours aussi dur et le corps taillé comme une armoire a glace, il n'avait décidément pas changer d'un poil mis a part ces quelques nouvelle cicatrice par là ainsi que ce masque sanguin ayant empêcher Alric de le reconnaitre plus tôt.

Aynkkel décida alors de briser lui même la glace après une certaine attente, il l'avait donc reconnu, ainsi ils étaient a présent tout deux a armes égales, connaissant l'autre presque par cœur malgré les années s'étant écoulé depuis, ils étaient deux frère d'armes, et le destin avait voulu qu'ils ne puissent vivre tant que l'un des deux demeurerait toujours parmi les vivants, malédiction divine ou triste ironie ? Allez savoir. Il décida a son tour de briser ce silence pour alors répondre d'une voix confiante et ironique bien que sérieuse.

Les années ont passé...mais tu est toujours aussi présomptueux et innocent. Soit j'ai peu de chance de survivre, et je n'ai pas vraiment envie de mourir.

Il se tut alors longuement avant, d'un simple accou de la tête, faire passer ses long cheveux d'ébène devant lui, les yeux fermé, il commença alors a les attacher en queue de cheval à l'aide d'un ruban de soie de couleur rouge et alors les laisser tomber a nouveau dans son dos, il ne les attachait uniquement quand il s'apprêtait a combattre sérieusement a vrai dire. Il rouvrit finalement ses yeux pour se remettre a fixer Aynkkel, le visage devenue étonnement sérieux malgré ce sourire espiègle.

Mais j'ai vraiment envie de te foutre une raclé.

Dit il la voix on ne peux plus sérieuse, avait il simplement envie de croiser une nouvelle fois le fer contre son ancienne ami ou avait il vraiment envie de lui faire mal pour son comportement des plus puéril d'après lui, seul lui le savait, mais ce qui était sur était que son regard exprimait une sévérité des moins communes chez Alric, mais pas des moins conséquente. Il se replaça dans la même posture qu'auparavant, jambe fléchie et fourreau dans la main gauche, il venait cette fois ci de tourner légèrement son katana encore rengainé de manière a donner cette fois ci un coup vertical. En faisant ceci, il était par conséquent certain d'en sortir avec une nouvelle cicatrice de guerre au niveau du torse face a la garde basse d'Aynkkel, mais il augmentait aussi a son coup d'atteindre ce dernier. Les muscles de ses jambes tendu, il appuya une nouvelle fois dessus pour lui donner une grande impulsion en avant, il s'agissait une nouvelle fois exactement du même mouvement que le précédent, il arriva devant Aynkkel très rapidement avant de soudainement feinter en pivotant d'un coup sur la droite de son adversaire. C'est alors qu'il dégaina, le geste toujours aussi rapide et gracieux que le précédent, son katana étant le prolongement même de son propre bras, il venait de tirer son épée de son fourreau de haut en bas pour alors abattre directement celle ci sur son frère d'arme, la puissance et la vitesse de son coup dépassant alors légèrement ses espérances grâce a son impulsion de départ.

Trois autres tombèrent dans le couloir, les rares objets et meubles qui le composai étaient maintenant éparpillé un peu partout brisés en milles morceaux, les murs fendu par un coup d’épée net et précis et laissant apparaître des trous béants où l’on pouvait entrevoir le ciel, oui, car Ayame était montée assez haut maintenant dans la tour de ce repère qui lui paraissait bien trop grand pour les crapules qui y habitaient. Elle avait terminer tranquillement son « travail » d’ouvrir le chemin devant elle avant de se retourner vers la jeune demoiselle qui était venu à elle, son visage était fermé, elle avait des traces de sang partout sur elle, mais on ne distinguait aucune trace de blessure ou d’égratignure, Ayame semblait aller vite dans ce qu’elle faisait sans se préoccuper des détails, concentrée elle se débarrassait de ses adversaires dans une aisance rare. Son katana dans une main, le laissant baissé vers le sol où le sang s’égouttait à sa pointe, elle était de profil à Leya et leva ses yeux des corps inertes à la jeune fille dans un regard vide, sans source de chaleur, un regard à glacer le sang. Elle fit quelques pas vers un homme à terre et essuya le sang de son katana sur ses vêtements sans la moindre émotion, ni bonne ni mauvaise, elle faisait ce qu’elle avait à faire et tuait ceux qui se mettait en travers de son chemin si cela était nécessaire. Sans la regarder et continuant son action elle émit une sorte de ricanement amusé mais aussi agacé.

"Tss… Je sais bien qu’il est partit le retrouver, si cela l’amuse de risquer sa vie alors qu’il est blessé ainsi, qu’à cela ne tienne, il est libre de faire ce que bon lui semble. De toute façon personne n’aurait pu le stopper, même pas moi.
Je crois qu’Alric a trouvé quelqu’un a qui parler… Quel imbécile… Hmm !"

Elle se retourna regardant Leya sans vraiment lui prêter grande attention, elle avait l’air ailleurs puis elle eut un sourire, son regard semblait redevenu plus allumé comme si elle était passé de l’assassin que rien ne peut déconcentrer à une femme plus détendu et plus vivante. Elle leva son katana le pointant droit vers le visage de Leya, toujours avec ce regard doux et paisible qu’elle avait momentanément retrouvé.

"Si tu es venu me prêter main forte pour mettre un peu plus d’ordre dans ce monde et le débarrasser un peu de sa souillure tu es la bienvenue !"

Elle rabaissa son arme et resta le temps d’un battement de cil à sa place avant de se retourner dans un mouvement las pour avancer vers la fin du couloir qui donnait à présent sur une immense porte qu’elle poussa avec ses deux bras pour l’ouvrir, elle semblait lourde et vieille mais s’ouvrit aussi simplement qu’on déchirerait une feuille de papier sous la pression qu’exerçait la dirigeante dessus, pourtant les battants semblaient bien rouillés, il ne fallait pas prendre la force d’Ayame à la légère, elle avait bien plus de ressource qu’on pouvait l’imaginer, son regard reprit de cette lueur noir et dure quand elle aperçut au milieu de cette grande pièce tout un attroupement de yakusa et tout au fond, derrière ce rempart se trouvait un siège où résidait un homme, au regard de glace et assurant qui semblait croire que rien ne pouvait l’atteindre, cet air arrogant et plein d’orgueil qui ferait réfléchir plus d’un avant de s’attaquer à lui.
Ayame resta devant cet amas d’homme en les regardant du même air hautain que leur chef comme pour attendre qu’ils se jettent tous sur elle, son objectif était bientôt atteint.

"Je t’ai enfin trouvé..."

Les hommes avaient des sueurs froides et ne semblaient pas décidé à se lancer dans le combat, la dirigeante pouffa et semblait amusé de la scène, mais elle n’avait pas tout son temps et son regard dure trahissait son impatience et sa colère.

"J’ai un homme à aller chercher donc j’aimerais qu’on en finisse rapidement !"

Le problème au Iaïdo, c'est que la majorité des coups son prédéfinis, surtout ceux qui consiste à mettre son katana dans son fourreau. Il est vrai aussi que cette posture ne peut permettre que très peu de fantaisie.
Bon, regardons la scène d'un autre point de vue, hum, celui de Aynkkel par exemple? Face à lui, Alaric, le royaliste se préparait, il falalit avouer qu'il était tout de même bon prince de le laisser se mettre en "position" de combat, le laissant se faire son petit chignon, remettre sa lame au fourreau...

Alalla, sa bonté le perdra... Ou pas...

Ainsi il bondit et frappa, a ce même instant, le corps agissant par le poids des années d'expérience, Shishi-Oh se leva comme munit d'une propre réflexion, il aurait put porter un coup et encaisser sans broncher celui d'Alaric, mais lui désirer rester en un morceau pour être sûr d'abattre Ayame. Il la voulait elle et personne d'autre.
Ainsi, lorsque la lame de l'ancien frère d'arme arriva, il avança d'un pas et leva sa lame en se tourna légèrement en pivot avec son gauche. son katana rencontra celui d'Alaric dans le tintement habituel du fer qui se croise. Maintenant c'était à lui de prendre l'initiative. profitant d'être si proche de son adversaire et que ce dernier ne possède ni arme apte à le frapper (son katana exécutant un course vers le haut) et ni armure.
Aynkkel donna un puissant coup d'épaule, la gauche bien entendu dans le torse du loyaliste.

Alaric avait de la chance d'être plus grand que Aynkkel, car sinon, cela aurait été son visage qui morflait, mais cependant, un bon coup d'épaule en armure, dans un torse ça fait toujours bien mal!

N'attendant même pas de voir le résultat de son action, Aynkkel se désengagea de l'assassin de l'ombre, bien, il falalit maintenant le surprendre! aussi dit, aussi tôt fait, il se positionna en garde haute!
Cette garde, il ne l'utilisait que depuis peu de temps ( pas 6 mois non plus, non, disons qu'il la mettait plus souvent en place depuis le départ d'alaric, sachant qu'elle serait salvatrice face à des bretteurs comme lui...)

Les pieds de Aynkkel changèrent, le pieds gauche se positionna en avant, le droit en arrière, toujours en appuye, l'épaule protégée bien en avant, le katana levé, légèrement excentré pointe vers la gauche, en sommes la position du premier kata.

Cette posture avait l'avantage de la vitesse, en effet, l'arme déjà armé, il suffisait juste à frapper... Aynkkel souffla alors:

-Toi tu es toujours aussi présomptueux... Laisse la tuer elle et l'empereur et nous nous défierons après. Tu te battras contre l'homme le plus rechercher du monde... A moins ... A moins que tu n'es la béguin pour cette femme...Oui! Bien entendu, toujours amoureux de la première catin venu!

Alaric avait toujours était fou des femmes, et parler de cette dernière le forcé a avoir une discutions, et donc de ce déconcentré, c'était l'un des autres défauts d'Alaric, le manque de concentration...

Il venait d'être envoyer valser avec une facilité déconcertante en arrière, a présent allongé dos au sol, sa blessure a l'épaule ne cessait de sanguinolent tandis qu'Alric avait quelques difficulté a reprendre son souffle, le coup d'épaule qu'il s'était pris au niveau du torse ne l'avait pas laisser indemne. C'était le principal défaut du Iaido, bien que des plus expéditif, il ne s'agissait pas vraiment d'une technique de pur combat, une fois paré, il était aisée de passé a travers la garde de son ennemi, ou du moins lorsqu'il ne s'agissait pas d'un adversaire particulier comme Alric voir, d'autre homme encore plus puissant que lui. Du sang se mettait a présent a couler légèrement de sa bouche tandis qu'Alric ne cessait de tousser brutalement, visage orienté vers le sol, il se releva tout de même aisément après une dizaine de seconde passé sur le sol, un coup de poignet lui suffit alors pour essuyer le sang perlant sur la partie inférieur de son visage tandis que ce petit sourire confiant et narquois demeurait toujours.

*Tsss...et moi et mon ego a deux balle...*

Qu'est ce qu'ils ont tous a raconter autant de connerie a la seconde sur moi ?

Se dit il a lui même a voix basse, presque trop faiblement pour que Aynkkel puisse véritablement entendre, il pensa alors a la conversation qu'il avait eu il n'y pas si longtemps que ça avec Shinji parlant exactement du même problème, il reprit une nouvelle fois la parole en haussant cette fois ci la voix avec narquois.

Excuse moi je t'avais mal compris et je croyais que tu la pourchassait pour lui faire la cour.

Tandis que cette aura d'hypocrisie s'intensifiait autour d'Alric de même que la sournoiserie subsistant constamment sur son visage, il décela rapidement les intentions de son ancien compagnon quand celui ci commença à lui parler ainsi d'Ayame. Il n'avait vraiment pas changé, malgré que sa force brut se soit encore améliorer, son esprit n'avait pas grandit d'un pouce, a cette pensée, leurs passé commun sembla soudainement ressurgir au yeux de l'impérialiste. Alric avait toujours eu, et ce encore aujourd'hui, un talent bien superieur a celui de son ancien ami, il n'avait presque jamais besoin de s'entrainer pour atteindre les plus hauts niveaux, un bon combattant lui montrait une technique nécessitant des mois d'entrainements, Alric la maitrisait en une semaine en ne l'ayant aperçu simplement qu'une unique et bref fois. Il battait n'importe qui en duel sans jamais avoir trop de difficulté bref, un de ces génie que l'on ne rencontrait que quelque fois dans une vie.

Il n'empêcha que lorsqu'il rencontra pour la première fois ce jeune paysans a peine plus vieux que lui et tout fraichement engager, il y a de cela maintenant une bonne dizaine d'année, la raclé qu'il reçut fut pour lui des plus mémorable. Et Alric eut beau être bien plus talentueux que lui, ce jeune homme était ce que l'on appelait un génie de la discipline dont les plus grands maitre d'armes de toute époque faisait partit, le talent avait beaux être conséquent il n'était jamais illimité, l'effort lui l'était en contrepartie. Son seul moyen pour le battre était d'utilité son esprit affuté et O combien vicieux, a un tel point que cette imprévisibilité en était devenu son plus grand atout contre ce taré de l'exercice matinale, a croire qu'il allait redevoir sortir cette carte contre lui aujourd'hui, dix ans plus tard.

*Et dire que la cote que j'avais contre lui était a peine de 35 / 65 (35 victoire d'Alric / 65 victoire d'Aynkkel)*

La posture que l'adversaire d'Alric arborait a présent semblait lui être inconnu, et a moins que ça mémoire ne lui fasse défaut ce qui aurait été des plus surprenant, il n'avait jamais vu Harima expérimenté cette garde haute sur lui. Il réfléchie quelque seconde a la signification de cette soudaine et nouvelle position sans en trouver de solution même s'il avait déjà une petite idée derrière la tête , la garde basse était habituelle de vigueur pour contré efficacement une technique de Iaido, mais la garde haute avait le grand avantage d'une plus grande liberté de mouvement et par conséquent d'une plus grande vivacité et meilleur réactivité dans les gestes. Maitrisait il cette posture insolite ou ne faisait il que l'expérimenter pour aboutir peut être a un bon résultat ? Il jouait là a un jeu fatal, c'était quitte ou double et Alric était de plus en plus irrémédiablement tenté de se laisser au prendre au pari. Sabre rengainé, il s'apprêtait une nouvelle fois a entrer dans la danse funèbre, mais cette fois ci en défense, ce serait a l'ex soldat de faire le premier pas.

Voyons voir jusqu'où peut aller ta conviction...Harima
(par conviction faut entendre lame)

l'ancien samurai, le ronin resta quelques instant figé, cherchant des yeux le moment clé, la faille, le petit plus qui marqué la victoire... Il savait qu'Alaric pouvait rapidement changé d'humeur, très lunatique comme garçon, il retsait cependant un bon compagnon d'arme, c'en était dommage de devoir l'affronter... Et de le tuer...

Le plus gros problème pour son adversaire s'était d'être un peu trop présomptueux, un peu trop sûr de lui. Pour Aynkkel, chaque combat était le dernier, chaque jours sans s'entraîner, du gachis...Le renégat avait fait de sa vie un régime spatiate ou amusement et repos n'avait pas lieux d'être. Et depuis sa récente haine contre l'empereur, il n'avait qu'augmenter le cran, ne souhaitant que le tuer pour ensuite mourir en paix...

Si cette femme n'aurait pas intervenu, totu serait déjà fini, il serait mort, son cadavre oublié, on aurait chuchotté quelques temps son nom pusi rien d'autre... Il n'avait que faire de la verison politique, lui ne réclamait que vengeance! Unqiuement la vengeance, rien d'autre...
Ilcommença alors à parler, gardans son attitude menaçante, mais sa voie devenue plus...plsu humaine...

-Je voulais avoir une vie paisible Alaric, je voulais servir l'emperereur et le faire revenir sur le trône....Mais il m'a trahis Alaric... Il a massacré ceux qui était chère pour moi, Peux tu comprendre que je n'ai que la vengeance? Ta chef m'a empêcher de me faire justice, elle m'a empécher de le tuer et donc de pouvoir reposer ne paix. Je n'aurait de répit que si elle et l'empereur meurt... Tu peux comprendre cela?

Jouer avec les sentiment,s tenter de le rallier a sa cause? Non, Aynkkel savait qu'alaric était l'un des être le plus têtu au monde, mais, il espérait qu'il pourrait comprendre pourquoi il faisait cela. Il arrivait parfois a Aynkkel de se demander se qui se serait passé s'il ne s'était pas engagé, ou si l'empereur n'avait pas fait cet acte atroce... Oui, la vie aurait été différente, tellement différente...
Il lacha encore :

-Mais tu ne peux comprendre...

Alors qu'il achevait ces mot, il frappa. Son coups était simple, au lieux de frapper en avançant, il fit un léger bond en arrière d'a peine un pas een rabattant son katana. Pourquoi? Pour éviter une éventuelle contre attaque. La lame avait dut en théorie roucher l'épaule du jeune adversaire. Ah, la garde haute. Cette posture avait un énborme avantage.
PAr exemple, si Alaric veut frapper, il doit, sortir son katana puis tapper, ce qui demande du temps pour sortir le katana et du temps pour frapper.
Si on ets en garde basse, il faut du temps pour lever son katana et du temps pour frapper. Alors que la garde haute, il suffit que de frapper, un gain de temps énorme! bref, une des meilleurs postures offensives....
restait a vori la réaction de notre petit impérialiste....

Toujours accroupi et la main posé sur la poignée de son katana, prêt a dégainer a une vitesse impressionnante a tout instant pour porter le coup qui sera peut être fatal a son adversaire. Il écoutait d'une oreille attentive bien qu'indifférente le discours de l'homme se tenant devant lui, un vieil ami, mais le temps passait et de l'eau avait couler sous les ponts tandis qu'il n'avait cessé de se renfermer inlassablement dans sa propre haine, se dénuant de toute forme de logique pour ne conserver plus qu'une seul chose dans sa tête, sa vengeance. Il avait totalement régresser de l'humain a l'animal et avait perdu toute raison, il voulait jouer a cela, la seul manière alors pour Alric de le vaincre était de devenir a son tour une bête sauvage semblable a lui, mais dieu seul sait que cette tête de mule hollandaise ne se rabaisserais jamais a une telle rétrogradation. C'était exactement comme s'enfuir pour se cacher dans sa propre lâcheté en rejetant la faute sur une autre cause pour tenter tant bien que mal de justifier son erreur, son but ou encore sa propre faiblesse, qu'importe le nom qu'on y donne. L'intensité de son regard avait changer pour un sérieux surprenant venant de lui même si cette facade confiante et supérieur sur son visage persistait toujours et encore, seul un œil avisé en aurait déceler cette petite étincelle futile qui emmènerait pourtant si la nécessité y était jusqu'à la mort Alric pour ses propres principes.

Aynkkel avait alors lancé l'assaut, un pas en arrière empêchant toute contre attaque suivit d'une attaque basique mais rapide visant l'épaule, avait il donc l'intention de jouer ainsi avec lui, d'un mouvement presque robotique, Alric venait de lever en un instant son sabre sans le dégainer pour autant en position de parade, main directrice placé toujours sur la poignée de l'épée tandis que l'autre main se trouvait toujours sur le fourreau de celle ci. La lame d'Aynkkel vint alors percuter directement son fourreau couleur de Jais, entaillant celui ci avec aisance avant de parvenir jusqu'au contact de la lame d'Alric dans un petit entre choc a consonance métallique. Une nouvelle couler sanguine s'échappait de son épaule sans qu'il ne fléchisse pour autant et a peine l'ex soldat se remettait en garde que déjà Alric faisait un pas en avant pour alors dégainer Baku'haketsu horizontalement dans un arc dévastateur, si Aynkkel s'était pris ce coup ci, ses tripes se serait inlassablement déversé sur le sol avant qu'il ne meurent presque instantanément, vidé de son sang. Le coup avait malheureusement échoué d'un rien a cause de l'entaille encore chaude sur le fourreau, cette dernière ayant alors réussit a ralentir la vitesse de frappe du coup de l'impérialiste, délaissant cette fois ci son Iaido pour son Kendo, Alric venait alors de laisser tomber sur le sol le fourreau encore présent dans sa main gauche, empruntant a son tour une garde haute, il se mettait a présent en garde, sa posture était bien plus brouillon que celle de son ex confrère d'arme, mais n'en avait pour autant jamais demeurait qu'un moins efficace.

Ce n'est pas que je ne peux pas, c'est que je ne veux pas...IL N'Y A ABSOLUMENT AUCUNE DIGNITÉ A MOURIR OU A PRENDRE LA VIE !!!

Venait il inconsciemment de crier de rage tandis que peu a peu ses forces lui échappait, Aynkkel devait surement le sentir lui aussi, la quantité de sang qu'avait perdu Alric suite a sa blessure a l'épaule aurait normalement fait s'effondrer n'importe quel homme d'inconscience voir même de mort, son teint d'ors et déjà plus claire que n'importe quel Japonais a l'origine s'éclaircissait un peu plus a chaque minute tandis que de grosse goutte de sueur coulait le long de son visage ainsi que de sa nuque, lui procurant d'horrible frisson. Simplement, il persistait inlassablement a résister a la fois contre son ancienne ami que contre ses propres limites, dans le seul et unique but de ne pas mourir aussi bêtement sans avoir tenté de sauver un minimum de sa fierté, non ! Il ne se laisserait pas abattre ainsi, même s'il était fort probable que la prochaine attaque soit la dernière, il ne devait pas mourir ici ni laisser passer cet homme derrière lui. La respiration de plus en plus haletante et le front de plus en plus trempé, Alric commençait a peine a sentir les effet de cette légère anémie bien qu'il conservait toujours ce visage confiance, histoire de ne pas se voiler la face peut être.

// bon, je vous laissez miko répondre, masi visiblement...//

Non...Non! Roh mais non! Il fallu presque un effort de volonté de Aynkkel pour ne pas baisser son sabre et se poster à côté d'Alaric pour lui repositionner ses pieds, il était à peine trop écarté, rien de très méchant mais damned! c'était important!
le renégat eut un sourire mauvais, s'il changeait de style de combat, c'est que vraiment, i létait dans la merde, car habituellement, on restait sur ce que l'on connaissait de mieux lors d'un combat.
D'ailleurs, lui même avait des connaissance en iaido, mais pas suffisante pour vouloir concurancer Alaric. ce dernier était totu bonnemetn extrahordinaire, il fallait l'avouer, car, vue la quantité de sang qu'il avait perdu, c'était presque un miracle qu'il tienne encore debout!
Se postant à son tours en garde haute, spur d'avoir une meilleur maitrise que lui et donc une facilité dans cetet position, le renégat souffla:

-Tu as peut être raison, mais moi je n'ai rien d'autre a part cela...
Je ne veux pas te tuer, je veux juste la tuer elle...Je t'ai apprécier par le passé, je te conseil vraiment de me laisser passer...

Oui, il n'avait vraiment rien contre lui, mais elle, oui , elle, il la haissait tant il ne souhait que voir son corps étendu sans vie. Elel qui omnibulait so nesprit...
Le ronin attendit alors, laissant le droit à Alaric de porter sa dernière action car n,ul doute qu'il ne pouvait vaincre...

Un tas de corps rampait maintenant au milieu du grand hall situé tout en haut de la demeure, au milieu se présentait une seule personne encore debout et aux katana dégainés, comme sortie des enfers, la jeune femme regardait l’homme toujours assis dans son siège d’un regard glacial et meurtrier. Tant d’homme au service d’une pourriture, ce monde avait vraiment besoin d’être purgé… La salle ronde avait des torches installé tout autours mais durant le combat, celles-ci furent renversées et le feu prit alors les mur tout doucement, la fumée empêchait d’avoir une bonne vue. L’homme qui figurait comme le chef eut à peine le temps de détourner ses yeux d’elle pour voir l’étendu des dégâts qu’elle avait disparut de l’endroit où elle était il n’y a pas une seconde. L eut alors des sueurs froides tout au long de son dos sentant sous sa gorge la lame d’Ayame et son regard de tueur.

"Que.. ?! Non, ne me tué pas !! Je vous donnerais tout ce que je possède et bien plus encore mais laissez moi par pitié."

Ayame eut un regard mauvais et cracha à sa figure, elle retira sa lame de sous son menton tout doucement, l’homme parut relâcher sa garde et souffler en voyant qu’elle avait pris la bonne décision, ce fut mal connaître Ayame. Elle lui infligea un coup de genou dans l’estomac qui le fit cracher du sang et s’évanouir sur son siège.

"Sauvez-vous vous-même…"

Elle rengaina son katana et prit la direction de la porte, il était temps pour elle de rejoindre son protégé et de voir si le Ronin ne l’avait pas encore trop amoché voir pire. Elle courra dans le sens inverse qu’elle avait pris pour venir à la différence qu’il y avait cette fois des flammes qui prenaient petit à petit les poutres au dessus d’elle, il ne faisait nul doute que le bâtiment était condamné et qu’il n’était pas bon d’y demeurer trop longtemps.

Elle arriva au niveau des escaliers qui séparaient les deux accès qu’avait chacun prit un Shishi mais ne prit pas la peine de les descendre, elle sauta de la barrière déjà un peu détruite par les hommes qu’elle avait éjecté plus bas et sauta dans le vide. Elle se rattrapa au lustre au dessus d’elle est il bascula avec la vitesse et le poids qu’elle avait mis par ce mouvement. Elle le lâcha au bon moment, arrivant devant le passage qu’avait emprunté les autres et s’y précipita alors. Son esprit à l’affût de la moindre attaque arrivant sur elle par surprise.