Sojiro Seta [ex Renji Yokohama]

Nom : Seta

Prénom : Sojiro

Surnom : Le Shinigami de Mibu

Âge : 22 ans

Camp choisi(e) / Grade : Shinsengumi >> Capitaine de la 1 ère division.

But : Protéger l'ère Edo & le Bakufu de la pointe de sa lame.

Pack : Pack Samurai >> Sojiro possèdent deux katana, le DAISHO. Le DAITO (litt grand sabre) nommé Kotetsu (60 cm) & le SHOTO (litt petit sabre) nommé Netsu (40 cm).

Description Physique : Sojiro n'est pas une personne de taille imposante, il ne mesure que 1.70 cm, il n'est pas non plus très gros : 68 kg. Il a les yeux bleu clair et les cheveux roux le plus souvent en pagailles. Il a souvent un regard froid mais celui-ci c'est être doux (surtout face à de jolie fille). La plus part du temps il porte le kimono du shinsengumi à la seul différence qu'il porte un noir (avec les triangles sur les aux extrémités) mais quelque fois il porte le bleu ciel. Il porte un veston blanc en dessous et attache son DAITO dans son dos, mais aussi à la ceinture leurs d'événements spéciales.

Description Mentale : Sojiro est un personnage assez intelligent, dans la vie de tous les jours il est assez intrépides et même casse cou. Mais lors d'un combat il est méfiant et ne prend d'ailleurs aucun combats à la légère. Il est très respectueux et respect d'ailleurs la hiérarchie aussi bien dans un dojo quand dans la vie courante.

Histoire : Sojiro est né un 12 avril 1831 dans une famille de Samurai de bas rang, dans le fief de Mibu, dans la province de Tama. Son père Samurai, voulait que Sojiro devienne un guerrier au service du Japon. Il a étais placé dans le dojo ; Seikan, qui enseigne le Tennen Rishin Ryu. Faute de guerre importante dans le pays sont père n'avait peu le placé dans un plus grand dojo. Son enfance a était dirigé par le dojo. Jusqu'à ce jours, ce jour ou sa vie à basculé. Il existait au japon un secte extrémiste Bouddhiste qui préconisé une seul religion au japon la leur. Ils organisé des persécutions sévères contre les autres religions. Le Bakufu décida alors d'éliminer cette branche bouddhistes. Après cela les révoltes religieuses de Tama éclatèrent, les membres de cette secte organisèrent des actions contre les shintoïstes. Les parents de Sojiro se trouvait dans un temple shintoïste lorsque les membres de la secte décidèrent d'y mettre le feux, ils moururent prisonnier des flammes. Sojiro perdit sa famille cette nuit là est décida de devenir un grand samurai du japon pour son père et sa mère. Il fut après cela élevé par sa grand-mère qui mourut du'un tuberculose lorsqu'il avait 18 ans. Il passa le reste de sa jeunesse seul considérant son maitre Isami Kondo comme son père.

Test Rp :
Chapitre I : Le jour tant attendu.
Chapitre II : Un nouveau départ.
Chapitre II : Un véritable combat.

Légende :
Sojiro Seta >> [en bleu foncé]
Natsu >> [en rose]
Hajime Saito >> [ en orange]
Isami Kondo >> [en cyan]
L'envoyé du Bakufu >> [en blanc]
L'assassin du Ishin Shishi >> [en rouge]
Les hommes du Shinsengumi >> [en vert]
Le marchand >> [en marron]

***

Chapitre I

Mars 1853, fief de Mibu, province de Tama.

Notre histoire commence prés d’Edo, dans la province de Tama, le fief de Mibu, un dojo de sabre, le Shieikan, enseignait une école de sabre appelée le Tennen Rishin Ryu. Le maître de ce dojo était Kondo Isami. C’est une région montagneuse, recouvert de forêt. Il fit très beau mais aujourd’hui le vent souffle fort dans la vallée. Si bien que les cerisiers blancs en perdent leurs fleurs qui s’envolent dans les rues de la ville. La journée commence et malgré le vent le soleil brille et présent au dessus de la ville. Tout doucement les commerçants et autres villageois s’activent pour commencer leur journée mais déjà un jeune homme attend devant le stand de Yakitori [brochettes de poulets]. Ce jeune homme se prénomme Sojiro Seta, c’est un jeune et talentueux kendoka de l’école Shieikan, disciple du célèbre Isami kondo. Le vendeurs de Yakitori ouvre doucement son stand, il sourit au jeune homme puis sort un ban, et allume son feu pour commencer a servir les client.

« Bonjours Sojiro, toujours la même chose. »

« Bonjours comment allez vous aujourd’hui ? »

Le jeune homme s’inclina respectueusement, il retira le sabre en bois qu’il avait dans le dos puis s’installa sur la ban et attendit sa commande tout en fermant les yeux et humant l’air des brochettes accompagnées de nouilles sautées. Il ne fallut pas moins de cinq minutes pour que le silence qui régnait disparaisse, c’était une ravissante jeune fille, elle portait un kimono blanc et rose accompagné d’un long foulard rouge. Elle s’inclina devant Sojiro puis vint s’asseoir a ses côtés. Sojiro mit ses mains sur sa tête et un grand sourire apparut sur son visage.

« Bonjours Natsu comment allez-vous aujourd’hui ? Vous êtes vraiment belle ce matin, ce kimono s’associe bien aux fleurs de cerisiers. »

« Bonjours Sojiro-sama, … merci beaucoup. »

La jeune fille rougit après les compliments que Sojiro lui avait faits, il faut dire que en plus de ces talents aux sabres, il était aussi un sacré tombeur de femmes, il ne pouvait s’empêcher de les complimenter en espérant pourvoir s’attirer leur sympathie ou plus si le destin en décider ainsi. La jeune fille en question était la fille de l’administrateur de la ville, elle était fortuné et appréciait Sojiro. Les deux jeunes parlèrent pendant prés d’une heure tout en dégustant leurs brochettes, dans les rires et les conversations plus intimes. Lorsqu’ils eurent fini leur petit déjeuner, Sojiro s’approcha de la jeune fille comme pour l’embrasser mais au moment du baiser, il se fit tirer en arrière par une oreilles. Sojiro tomba du ban sur les fesses puis leva la tête ne voyant pas le visage de celui qui l’avait tiré à cause du soleil. Il se releva et aperçu un homme assez imposant portant ces deux sabres de samurai, il s’agissait d’Hajime Saito, un maître du dojo d’Isami Kondo.

« Alors Sojiro encore en train de batifoler, et de manger ces brochettes plein de gras, tu veux manquer mon entraînement de ce matin c’est sa ? Tu est trop immature, haha.»

Sojiro se releva grimaçant et se tourna vers le ban qui était désert, la jeune Natsu avait profité de l’arrivé de Saito pour s’éclipser et aller travailler. Sojiro laissa tomber ces bras tout en tirant une tronche d’enterrement. Il se retourna vers Saito, avec une veine sur le front et les poings fermés.

« J’était … SUR LE POINT DE CONCLURE ! »

« Ha ha ha, conclure ? Mais voyons tu ne conclus jamais tu est bien trop jeune ! qu'elle idée. Conclure ! Ha ha ha !»

« Trop jeune ?! J’ai vingt-deux ans voyons arrête de me prendre pour un gamin. »

« L’age n’as rien avoir, ces ton esprit qui feras de toi un vrai guerrier, et maintenant ramasse ton bokken et vient au dojo pour l’entraînement, de maître Kondo. »

Sojiro baissa la tête puis récupéra son bokken, il suivit Saito vers le dojo, arrivait il retirèrent leur sandales. Saito traversa la salle devant les élèves qui le saluèrent respectueusement. Sojiro retira le haut de son kimono et enfila une armures de Kendo pur se protéger. Pendant plusieurs heures il enchaînèrent les mouvements aux sabres, ils firent des combats entre eux tout sa devant les yeux attentionné du Maître Isami Kondo. L’entraînement se prolongea jusqu’en fin de matinée. Le maître fit sonner le carillon qui annonçait la fin de l’entraînement. Les élèves sortirent dans le jardin derrière le dojo, c’était une grande cour entourée de cerisiers blancs. Il y avait un puits prés d’un grand bassin ou quelques nénuphars fleuris flottaient à la surface de l’eau. Les élèves parlèrent en eux mais Sojiro se lassa très rapidement de leur conversation, il faut dire qu’il était le plus âgé des élèves et était sur le point de devenir un vrai kendoka et de recevoir ces deux sabres, du moins il l’espérait. Il décida de rentrer dans la salle d’entraînement, il monta sur la petite terrasse et fit coulissait la porte avant d’entré, il aperçu alors deux samurai qui discutait avec les maîtres du dojo. Saito s’approcha de Sojiro et lui tira l’oreille avant de le diriger vers la sortie.

« Ceci est une discutions privée. »

Il referma la porte derrière lui. Sojiro afficha un large sourire. Il observa le bâtiment et en moins de temps qu’il fallait pour le dire il grimpa la façades pour pouvoir accéder au toit et se faufilé dans le plafond du dojo afin d’écouter la conversation des Maîtres avec ces deux Samurai. Il grimpa sur une des poutres du bâtiment et resta là une bonne demi-heure, il entendit la conversation dans son intégralité. Les deux hommes en questions étaient des hommes du Shogunat Tokugawa, qui venait demander une faveur au maître du dojo, en effets l’arrivée des cuirassés du commodore Perry en 1853 sur les côtes du Japon avait effrayé les Japonais et les plongèrent dans le doute. Si bien qu’une guerre civile éclata et des hommes voulaient renverser le Shogunat pour réinstauré l’ordre impérial, pour contrer cela le Shogun avait eut l’idée de créer une police spéciale afin de stopper ces hommes, connue sous le nom d’Ishin Shishi.
Une fois la conversation terminée les hommes sortirent accompagnées des maîtres du dojo, avec Isami à leur tête.

« Vous pouvez compter sur notre aide mais hommes et moi-même feront partie des ces divisions … »

« Je veux en faire partie ! »

Les hommes se retournèrent en direction du toit du dojo, Sojiro était debout sur les tuiles. Il portait les combinaisons de protection mais n’avait plus le casque. Isami Kondo ferma les yeux puis s’adressa à lui avec un ton particuliers.

«Descend de là tout de suite. »

Sojiro s’inclina et s’exécuta, il descendit du toit du dojo et se présenta devant son Maître, celui-ci baissa la tête puis gifla violemment Sojiro qui tomba à terre brusquement devant le dojo soulevant un petit nuage de poussière et de fleurs de cerisiers. Il releva la tête vers le Maître avec un regard haineux tout en frottant sa joue devenue rouge avec le coup.

« Quand comprendra tu que tu ne peux pas faire ce que tu veux ! »

Sojiro voulut se lever et lui répondre ce qu’il pensé de tout sa mais il baissa les yeux et s’inclina au sol devant Isami.

« Je vous présente des escuze, maître. »

« Tu dois comprendre que pendant notre absence il faudra quelqu’un pour enseigner au dojo. »

Les yeux de Sojiro s’ouvrirent, il leva progressivement sa tête, et un sourie s’affichait progressivement sur son visage.

« Cette personne te correspond assez, Sojiro. »

Le sourie de Sojiro était vraiment grand maintenant, il s’inclina respectueusement encore une fois devant son maître et des larmes apparurent aux coins des ces yeux avant de descendre le long de sa joue. Il restait incliné devant les maîtres du dojo. Le jour tant attendu était enfin arriver.

« Va nous attendre à l’intérieur. »

Sojiro se releva jeta un coup d’œil au maîtres puis essuya les larmes de ces yeux avec son poing. Il se retourna et retourna dans la salle d’entraînement du dojo, il s’essaya sur les tatamis et attendis le retour des hommes. Il n’attendit pas bien longtemps car à peine cinq minutes après son arrivé, les maîtres arrivèrent et s’installèrent en face de Sojiro, ils s’asseyaient sur les cousins. Pendant prés d’une heure, ils expliquèrent à Sojiro que il allait partir pour constituer une police spéciale au service du shogun et que le dojo aurait besoin d’un maître au dojo pour assurer l’avenir de celui-ci dans le fief de Mibu. A la fin de cette explication débuta une cérémonie pour faire de Sojiro un maître du dojo, à la fin de celle-ci, Isami Kondo lui remit les deux sabres faisant de lui un vrai kendoka, il remit son bokken d’élève à son maître.

Le jour tant attendu qu’il avait autant espérais était enfin arrivé.


Autres : Je suis le fondateur du forum >> [L'ex : Renji Yokohama]

***

Chapitre II

Juillet 1853, fief de Mibu, province de Tama.

Aujourd’hui n’est pas un jour ordinaires ; c’est le O-bon no hi, la fête des mort japonais, des millions de japonais, se rendent dans les cimetières afin de rendre hommages à leurs ancêtres disparus. Dans le fief de Mibu, c’est un journée magnifique qui commence ; voila prés de cinq mois que Sojiro Seta est devenu maître du dojo, le Seikan, qui enseigne le Tennen Rishin Ryu. Il a sut se faire respecter de la ville en repoussant plusieurs défis, de kendoka qui voulait s’emparer des plaques du dojo. Mais aujourd’hui le dojo arbore une plaque de bois qui explique sa fermeture pour permettre aux élèves de célébrer les morts. D’ailleurs même le maître se trouve dans un petit cimetière, plus aux dans la vallée. Sojiro empruntait un petit chemin de terre rocailleux pour monter dans un ancien temple shintoïste incendié pendant les révoltes religieuses de Tama, en 1840. Il porte un petit seau, contenant des fleurs du saké et de l’encens. Sojiro arrive maintenant en haut du chemin, il prend le temps de se retourner pour regarder un instant la ville, vu du haut de la vallée. C’est maintenant le début de l’été, et la ville arbore un manteau vert, celui des cerisiers, qui on perdu leur fleurs avec l’arrivée des beaux jours. Sojiro observe la ville quelques minutes avant de continuer sa route en s’enfonçant dans un petit bois de sapin, puis d’arriver au temple, il se fraye un chemin parmi le bois calciné du temple, le toit c’est complètement effondré à l’intérieur et seule la plaque de bronze représentant les éléments naturels à résister aux flammes. Mais malgré cela Sojiro avance tranquillement, il connaît bien cet endroit. Après avoir traversé le temple, il se retrouve dans une petite cours de terre recouverte de tombes. Il avance a travers celle-ci puis s’arrêta prés d’une petite colonne noir avec les inscription : Seta écrit dessus, en effet il s’agissait des parents de Sojiro, qui avait était tué dans ce temple prisonniers des flammes avec d’autres villageois, les auteurs de cette incendie était des membres du secte bouddhiste qui avait subit des persécutions du gouvernement, en raison du danger qu’ils représentaient.
Sojiro se mit a genoux puis débarrassa le petit talus de terre devant la tombe des feuilles de ginkgo présent autours du petit cimetière. Il posa le seau et disposa les fleurs par terre ne face de la tombe, il planta des battons d’encens dans la terre et les alluma puis il versa du saké sur la tombe, avant de se mettre à genoux devant et de rejoindre ces mains devant son visage comme pour prier afin d’honorer ces parents. Il resta ainsi de longues minutes et bientôt les bâtons d’encens furent consumer et seule les bouts rougeâtres restaient planter dans la terre. Sojiro quand a lui restait encore dans cette position, les yeux fermés quand le craquement d’une feuille sécher de ginkgo se fit entendre. Il ouvrit un œil et dirigea son regard sur le côté et aperçut une vague silhouette, il resta immobile, ces sabres étaient posés à sa droite sur le sol. Il sentit la silhouette se stoppait derrière lui. Une brise d’air vint caressait son visage et soulevait les feuilles à terre, brusquement Sojiro profita de cela pour lever une jambe, la posé à terre et attraper son sabre long. Il le sortit rapidement de son fourreau et le positionna au niveau de la gorge de son « adversaire ». L’homme était assez grand et portait un manteau de paille et en dessous un kimono bleu foncé. Son visage était masqué par un chapeau de paille descendant jusqu’en dessous du nez, l’homme avait un petite barbe brune, des trous sur le devant du chapeau lui permettait de voir correctement mais on ne distinguais pas son regards pour autant, ce qui était pratique pour combattre un adversaire. Sojiro fixait son adversaire sans relâcher son attention, quand celui-ci afficha un sourire, il leva les mains en l’air, puis retira son chapeau de paille et dévoila son visage à Sojiro.

« Je ne suis pas ici pour vous tuer jeune maître, je suis un envoyé du bakufu. »

« Un envoyé du bakufu ? Que faite vous ici ? »

« Je suis venu vous chercher, mais peut être pourrions nous parler dans un endroit un peu plus … chaleureux ? »

Sojiro tapota le bas de son kimono pour retirer la terre puis repris la bouteille de saké et le seau, il s’inclina une dernières fois face à l tombe de ces parents puis fit un signe de la main à l’homme du bakufu, et sortit du petit cimetière, pour se retrouver dans le temple incendié. De nouveau il dû se frayer un chemin parmi les débris calcinés du temple. Ils sortirent des débris puis du bois et redescendirent en direction de la ville par le chemin de terre. A l’entrée de la ville, le panneau en bois qui annonçait les nouvelles de la ville, arborait une petite plaque de bois accroché avec un clou, qui annonçait la fête de bon, et inciter les villageois à célébrer les morts. Les deux hommes cherchèrent une auberge ouverte qui pourrait leur servir du saké et des tokoyaki frais. Au bout de dis minutes de marche à travers les rue, il trouvèrent un petite auberge, ils entrèrent et prirent un boxe. L’aubergiste prit leur commande et l’homme du bakufu expliqua la situation du japon à Sojiro, puis celle concernant le Shinshen gumi, la police spéciale au service du bakufu, dirigée par Isami Kondo, son maître. Il lui expliqua que dans Kyoto, la situation était de plus en plus chaude, et que il avait perdu, il y a quelques jours un chef de divisions et comme l’expliquer le code du Shinsen gumi :

-Si le leader d'une unité est mortellement blessé dans un combat, tous les membres du groupe qu'il commandait doivent combattre ou mourir sur place.-

Ils avaient ainsi perdu toute un divisions qu’il fallait remplacer au plus vite, c’est ainsi que Isami Kondo avait eut l’idée de faire appelle à Sojiro Seta pour commandait cette nouvelle division. Il lui expliqua que il lui faudrait faire des sacrifices, comme quitter le dojo, c'est-à-dire nommé un nouveau maître comme lui précédemment et renoncer à sa vie ici. Mais Sojiro avait toujours considérait son maître comme un père et tout ces les autres disciple d’Isami qui l’avait rejoins comme sa famille. Lui qui il y a cinq mois était prés à tout pour pouvoir être avec eux, hésita. Il dégusta son verre de saké, accompagné de tokoyaki, tout en réfléchissant pendant de longues minutes, avant de donner une réponse positive au messager du bakufu.

Le lendemain, Sojiro avait un peu prématurément nommé, son meilleur disciple, maître du dojo, la cérémonie avait était courte et en fin de matinée après avoir réuni son paquetage, il avait rejoins le messagers du bakufu pour partir en direction de Kyoto rejoindre l’unité du Shinshen gumi.

C’était pour lui un nouveau départ.

***

Chapitre III

Août 1853, province de Kinki, Kyoto.

Kyoto, une ville qui change avec les saisons, aujourd’hui nous sommes le 16 juillet, un jour particuliers à Kyoto puisqu’il s’agit de la fête de Gion, un fête traditionnels instauré il y a longtemps pour lutter contre la peste et qui a traversé les siècle. A son arrivé dans cette ville, Sojiro ne s’attendait pas à voir une ville comme sa, non seulement elle était immense mais les quartiers traditionnels étaient illuminés et décorés avec des lanternes, des tentures et des bannières de fleurs pour la célébration, il souleva son chapeau de paille, il ne savait plus ou donner de la tête, c’était merveilleux et de plus les jolie filles couraient les rues, ce qui lui plaisait. Sojiro ne s’imaginait vraiment pas, qu’une ville aussi belle pouvait être le théâtre d’affrontement sanglant. La nuit tombait peu à peu sur la ville, les rues se remplissaient de monde en tenue de fête, les lanternes de couleurs s’allumaient les une après les autres, éclairant les rues de couleur différentes. Sojiro quand a lui se promenait, les quartiers étaient très animés, les odeurs de nourriture envahissaient les rues. Sojiro dépensa le peu d’argent qu’il avait pour s’offrir des brochettes Yakitori, accompagnées de gingembre. Les personnes s’activaient dan les rues, les enfant portaient des masques, tandis que on observait le défilais des chars accompagnés de flûtes, de tambours et de gongs. Es chars représentaient les différents quartiers de la ville. Et chaque personne qui défilait portait un kimono de couleur différente, c’était un vrai festival de couleur. On pouvait entendre des pétards et des feux d’artifices éclataient non loin. Sojiro en oublier le temps, il souriait et riais de bon cœur en voyant tout ces gens heureux et ces décors magnifiques qui s’offraient devant lui. Il en oublia presque le pourquoi de ça venu. Jusqu’à ce qu’il aperçut des hommes armés patrouillés pendant le festival. Il compris que le danger pouvait apparaître à tous moment dans cette ville. Il s’éloigna des quartiers animés pour empruntait des ruelles a fin de se rendre dans une résidence ou il devait loger. Mais la ville étant grande, il se perdit assez rapidement et tourna en rond pendant prés d’une demi-heure, avant d’arriver à une petite place à demi éclairée. Il assista alors à un spectacle étonnant, un grand homme en kimono blanc, des cheveux gars est long, mal rasé et qui portait un chapeau de paille, se tenait face à deux hommes, l’un deux à moitié mort à terre et l’autre blessé à l’épaule. L’homme afficha un large sourire quand l’un deux se rua sur lui, d’un cou de sabre bien placé l’homme au kimono blanc éventra le soldat et une pluies de sang s’abattit sur la petite place. Il souleva son chapeau de paille et s’adressa à eux dans leurs derniers instants.

« Mort aux suppôt des Tokugawa. »

Sojiro compris soudain ce quel lui avait expliquer le messager du bakufu. L’affrontement entre les Ishin shishi et le bakufu. Cet homme appartenait vraisemblablement aux Ishin shishi. Sojiro ne savait pas quoi faire, il ne pouvait se lancer à corps perdu dans un combat sans connaître l’adversaire, d’autant plus que l’homme ne semblait pas l’avoir remarquer. Mais il ne pouvait laisser un assassin sans sortir ainsi. Il décida malgré tout de faire face à cet homme quoi qu’il arrive. Il sortit de l’ombre, le visage caché par son chapeau de paille et la main sur le sabre. L’homme en blanc se retourna et afficha un sourire.

« Encore un. »

L’homme sortit son katana, Sojiro fit de même. Les deux hommes se regardaient fixement, ils étaient en position Bâto ; ce qui signifiait qu’il allaient dégainer leur katana, en même temps et que l’attaque serait bref. Le plus rapide gagnerais mais il faudra aussi une bonne technique.
L’adversaire de Sojiro avança son pied droit pour pouvoir se propulser vers lui plus rapidement. Sojiro avança son pied plus lentement mais tout ne fixant son adversaire, il cachait la peur qui l’envahissait peu à peu et toutes autres émotions. L’homme en kimono blanc s’élança soudainement, il était vraiment rapide, Sojiro fut un peu surpris mais s’élança aussi. Rapidement son adversaire dégaina son katana avant Sojiro qui attendit un peu. Un grand éclair se fit et les deux hommes se croisèrent et s’arrêtèrent en même temps. Quelque secondes passèrent puis l’homme en kimono blanc s’affala au sol le torse ouvert par Sojiro qui lui avait un entaille profonde a bras gauche. L’homme au kimono blanc ouvrit la bouche pleine de sang pour s’adressait à Sojiro avant de rejoindre l’autre monde.

« Bien joué, tu est vraiment fort et ceux-ci est un belle mort. Mais il y a d’autre assassins bien plus fort que moi … »

La mains de l’homme s’ouvrit lâchant son katana, sans était finit. Sojiro le regarda puis hocha la tête pour le saluer. Il se baissa pour examiner sa blessure quand deux hommes avec des lanternes arrivèrent, ils portaient tout les deux me même kimono, bleu ciel, avec sur les extrémités des triangles blancs. Il examinèrent le corps de l’assassin et ceux des deux hommes qu’il avait tué, puis l’un deux s’adressa à Sojiro, la main sur le sabre.

« Veuillez déclinez votre identités ? Êtes vous l’auteur de ces assassinas ? Pourquoi êtes vous ici ? »

« Je m’appelle Sojiro Seta, je ne suis l’auteur que de la mort de cette assassin, qui lui-même à tué ces deux hommes. Je suis ici sous la demande de mon maître pour rejoindre la police du Shinsen Gumi en tant que capitaine d’une division. »

« Le Shinsen Gumi ! Dite-vous ? Cela tombe bien nous en faisons partit. Oh mais vous êtes blessé, nous allons pour accompagnez dans les quartier de la police, pour arranger cela au plus vite, vous pourrez ainsi rejoindre votre maître. Mais qui est-il en faite ? »

« Isami Kondo. »

Les deux hommes le regardèrent avec étonnement puis ils se regardèrent avant de reprendre leurs esprits. Sojiro fut accompagnés par les deux hommes du Shinsen Gumi vers les quartiers de la police de Kyoto dans un quartier anciens sous haut contrôle du Shinsen Gumi, tandis que des hommes s’occupaient des corps des deux hommes et celui de l’assassin.

Ce qui avait était pour Sojiro un véritable combat.