Yokohama Renji [exemple]

Suite & fin Chapitre II


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Renji ouvrit enfin les yeux, il était dans un endroit chargé d’humidité

« Qu’est ce qui se passe ? Qu’est ce que je fous ici moi ? »

« Tu te souviens de rien ? » Lui dit le Samurai avec qui il avait combattu plus tôt. »

« Je me souviens d’avoir rêvé ! Y avait le feux partout autours de moi. »

« C’était pas un rêve. »

« Ha ouai et toi t’était dans ton bain avec t’est bijoux de famille à l’air ! »

« Alors sa c’était ton rêve. »

« Mais dis moi pourquoi t’est là ? Tu n’es pas un de leurs hommes ? Un Yagin machin chose ? »

« Non je suis un simple rônin et pour les Yagin, ils sont mort je les est tués a mon arrivée ici il martyrisés des villageois. »

« Ha sa explique tout alors. »

Un homme de petite taille et assez gros, arriva escorté par cinq Samurais qui portait tous des Kimono bleu avec un triangle blanc au contours noir qui devait être le symbole de la famille du préfet qui dirigée la région.

« Bande de chiens, vous allez payez pour la mort de mon fils !! Au coucher du soleil vous serais décapités ! »

« Lâche nous la grappe ! Face de cul on n’as pas allumé ce feux nous ! »

« Tait toi !!! Insolant ! »

Le groupe de Samurais partit en laissant les deux hommes sur le sol mouillés de leurs cellules affaiblis par leur combat et attachés aux murs pour ne pas bouger jusqu'au crépuscule. On vint les cherchés une heures avant le coucher du soleil. On les fit traversé une immense cour, ou ils purent apercevoir des cerisiers fleurie. Ils arrivèrent sous un grand portique rouge orné de symbole Taoïste de couleur or, l’extrémité supérieur du portiques était une charpente en bois surmonté de tuiles rouges. On pouvait donc émettre l’hypothèse sans se tromper, qu’il s’agissait d’un temple Taoïste, ce qui était plutôt rare dans la région, car ce n’était pas la religion dominante ici. Le soleil venait maintenant d’entamer sa descente dans cette région montagneuse et le ciel prit une couleur sang les quelques nuages présents prirent une teinte noir. Les deux hommes étaient maintenant dans une immense cour carrée fermée par des murs traditionnels de chaque côté. Il y avait deux grands portiques aux Nord et au Sud ou étaient regroupé les villageois venus assistés à la condamnation. En effets la ville étant assez clames on n’avait envoyer des crieurs publique pour prévenir la population de la ville de l’exécution des deux hommes. Les villageois restaient sous les deux grands portiques tandis que une trentaines de Samurais se positionnais de chaque cotés pour laisser le préfet et ces hommes de mains exécuté les deux condamnés de leur sabres. Des cris de corbeau s faisaient entendre au loin à croire que tous les ingrédients pour une exécution étaient présents. Cela pouvait enfin commencé.

« Toi Renji assassin et vagabond et toi le Rônin Nôbou également assassin et vagabond, vous avez étaient condamné à être décapités et que vos tête aillent mordes la poussières. »

« Alors ? Etes-vous prêt a rampait a mes pieds et me suppliais pour que je vous accorde mon pardon ? »

« Si pour revoir le soleil il faut s’écraser face a des bâtards dans ton genre … je préfère mourir bien dans mes sandales et la tête haute ! »

« Hum… bien dit sa me va aussi. »

« Très bien j’ai compris. Mais pour vous déshonorer une dernière fois je vous ferais tuer par vos lames ! » »

Le préfet fit un signe de la main avant de reculer et deux hommes habillés de Kimono bleu et blanc s’avancèrent, ils portait les sabres des deux hommes et les dégainèrent avec un sourire sanguinaire. Avant de les empoignés a deux mains et de les lever vers le ciels, les villageois retinrent leur souffles et d’un coup, on crut que le temps c’était arrêtait comme pour donner un derniers instant au deux hommes. Des rayons du soleil percèrent les flancs des montagnes escarpés pour venir éclairé la grande cour du temple. Le bruits des corbeau se fit entendre et les lames s’abaissèrent dans leur envolent.
En une fraction de seconde Renji bascula vers l’avant et la lame vint frapper le sol dans un bruit assourdissant, il était maintenant la tête en bas sur la nuque les mains liées. Il écarta ces jambes pou tournoyé sur lui-même sur sa tête et ainsi projeter sa lame dans les airs qui vint se planter a quelques mètres de Nôbou qui accouru pour se libérer de ces liens. Et se relevait rapidement pour envoyer au tapis en quelques coûts d’art martiaux l’homme qui tenait ces deux Katana. Renji fonça comme un diable sur les hommes en projetant deux ou tours part terre pour se rapprocher du rônin qui lui coupa à son tour ces liens et lui redonna sa lame.
Ils étaient encerclés par vingt hommes sabres en mains mais ils étaient prés pour le combat.

« Bon remettons notre baston a plus tard j’ai envi de me faire ces gus. »

« A parce que tu penses vraiment tous les zigoullés c’est sa ? T’est vraiment une grosse burnes toi »

Renji souri de plus belle laissant apparaître un regard de tueur, le genre de regard qui vous glace le dos en moins de deux. Le préfet recula à l’arrière et fit signe à ces hommes de chargés sur eux. Renji fut attaqués par trois hommes. D’un coup de sabre rapide il ouvrit l’estomac du premier qui s’effondra au sol, il se retourna donnant un coup de pied au deuxième qui tomba au sol a son tour tandis q’un quatrièmes arrivait par derrière il se laissa tomber en avant esquivant la lame de celui qui était devant lui posant ces deux mains au sol il envoya ces deux pieds en arrière pour frapper celui qui venait par l’arrière. Puis il se mit sur une mains et d’un coup de sabre il découpa celui en face de lui tandis que le second tombait a terre se relevait il fit pivoter son poignet pour envoyer ces jambes frappaient sa tête et le mettre K.O. Il se releva et un autres hommes se rua sur lui il fit un salto avant pour retomber les pieds en avant sur le dos de l’homme penchait dans sa course il s’aida de cette homme pour se propulser sur les murs qui bordait la cour et qui avaient en haut un petit toit en tuiles rouges, l’homme quant lui s’affala au sol. Il se mit à courir sur les murs a l’aide des tuiles jusqu’au portique Sud ou se trouvait les villageois. Arrivait au portique, il sauta de toute ces forces pour atteindre le haut de la charpente du portique. Il grimpa en haut du portique et d’un coup de sabre détacha trois rangé de tuiles qui tombèrent sur les Samurais qui l’avait suivit. Il sauta du portique et en deux coup de sabre tua les deux hommes encore debout ici. Il couru vers le centre de la cour a toute vitesse éventrant le hommes sur son passage quand il aperçut le préfet entouré de trois hommes. Il tourna a toute vitesse vers lui et deux hommes se ruèrent dans sa direction il tomba en avant et mit ce deux mains par terre laissant ces pieds basculés de l’autre côtés avant de se propulsé pieds en avant vers eux leur envoyant un pied chacun en pleine tête. Puis le troisième homme se mit en grade avant de foncer vers lui. Renji tourna sur le cotés esquivant sa parade et en profita pour lui planter son sabre dans le dos, l’écrasant au sol. Il retira son sabre du cadavre, t s’approcha du préfet qui l supplier de lui laisser la vie sauf en échange d’argent. Mais d’un coup bref Renji lui ouvrit le torse et l’estomac le tuant net. Tandis que le rônin en terminais avec le reste des Samurais présent. Avant de nettoyer sa lame.

« Je vais me retirer maintenant toute cette agitation m’as amusés mais j’ai un long voyage jusqu’à Edo »

« Hey attend une minutes tu oubli notre combat ! »

« Tu m’escuze mais j’ai eut ma dose de combat pour aujourd’hui et si tu veut mon avis on n’as intérêt a dégager avant que les renforts n’arrivent alors … Ciao »

Il ramassa une pipe d’un des Samurai encore chaudes et se qui semblait être une bombe à mèches

« Hey qu’est c' tu fou ?! »

Il alluma la mèche et la lança en direction de Renji. L’explosion éclata dans un bruit assourdissant mais il ne s’agissait pas d’une bombe mais d’un feu d’artifices qui était sûrement là pour fête la mort de deux criminels. Le ciel s’illumina d’un coup d’une couleur bleue et violette. Une fumée des dégageait au sol et lorsqu’elle se dégagea Renji était seul au milieu de la cour assit au milieu des cadavres. Une goutte de sueur coula le long de sa tempe puis de sa joue après le peur qu’il venait d’avoir

« L’enflure il c’est fait la mal ! »

Il attrapa son fourreau et partit en courant vers le portique Nord se frayant un chemin dans la foule puis courant à toute allure vers dans les rues de la ville avant de disparaître dans les rizières qui bordaient la ville.