Un voyage...!

Le soleil tapait fort en ce petit matin. Les passants affairés traversaient déja les rues d'Hiroshima. Marchands, brocanteurs, samouraïs..... Tous allaient et venaient, sans rien dire, errant tel des loups au milieu des loups, sans faire attention à leurs semblables...

Shinji lâcha un soupir et se gratta la crâne. Il avait mal aux pieds, alors qu'ils marchaient depuis à peine un quart d'heure. L'Assassin avait de longs cheveux blonds, et un visage tranchant. Ses dents legèrement en avant donnaient un air énigmatique à son sourire. Il portait un kimono noir attaché par une ceinture de tissu blanche. Il n'avait pas son shikahusho blanc. A côté de lui, à sa droite, Shin l'accompagnait. Le jeune homme avait les traits durs, ainsi que de courts cheveux noirs. Il portait une armure de cuir légère et un pantalon de tissu blanc. Shinji repensa aux raisons qui l'avaient forcés à emmener Shin.

*Flash-back*

Shinji leva les yeux de son placard, qu'il fouillait. Musashi lui faisait face, le défiant du regard. Shinji lui demanda ce qu'il voulait. Musashi fit:

Musashi: Tu pars à Hiroshima, non?
Shinji: Tout juste.
Musashi: Emmmène Shin-kun avec toi. Il doit voir quelqu'un. C'est nécessaire à sa progression.

Shinji réfléchit un instant, et fit, la tête inexpressive:

Shinji: J'ai pas envie.

Musashi réitéra sa question, et il essuya le même refus. Le "manège" dura un quart d'heures, lorsque Shinji accepta, enchanté à l'idée d'enfin découvrir, qui sait, si Shin ressentait vraiment de l'amour ou pas. Il eut un sourire tyrannique, et Musashi le frappa sur le sommet du crâne. Shinji lui rendit le coup, et cela tourna en une bagarre.

*Flash back OFF*

Shinji rabattit son large chapeau de paille, cachant ses yeux, et entra dans uen auberge. Il s'accouda au bar, et fit:

Shinji: Aubergiste! Donnez-moi...

Soudain, une silhouette attira son attention au fond de la salle. Il tourna la tête et vit... Ashido! Le gars qu'il avait rencontré à la réunion de Tosa. Il s'approcha de lui et fit:

Shinji: Ashido-san. Je te connais.

Alric était assis tranquillement au fond de la salle quand une voix familière se fit entendre, il tourna la tête vers la droite pour alors reconnaitre le visage entrain de prononcer son nom. Bien qu'il ne l'ai vu qu'une seul fois et plutôt brièvement, son visage lui semblait encrée dans sa mémoire, au coté de son nom. Non Alric n'avait pas flashé sur lui et eu ce qu'on appelait un coup de foudre, non, il était juste de ces personne que l'on appelait physionomiste pour leurs mémoire visuel très développée. Il était capable de se souvenir d'un endroit précis ou du visage d'une personne a la perfection rien quand l'ayant croisé dans la rue. Bien sur, pour Alric, cela avait juste tendance a compenser son absence d'esprit naturel. Bref, nous disions donc qu'Alric reconnu aussitôt qu'il l'eut en ligne de mire son interlocuteur, Il l'avait rencontrer lors de sa première réunion stratégique chez les Shishi, il s'agissait de l'assassin de l'ombre personnel du dirigeant de Choshu, il lui leva la main pour l'accueillir a sa table gentiment en lui disant.

Quel bon vent t'amène par ici Shinji-kun ? (Si je peux utiliser Kun bien sur, mais si tu préfère san, pas de problème ^^)

Il lui désigna alors deux chaises de la main, une pour lui et une pour son jeune compagnon des plus loquace. Avant même que Shinji ait le temps de répondre, Alric dit a voix haute d'une manière légèrement enivré en servant un vers de Saké a ces deux confrères.

On dit que d'après un vieux proverbe, on savoure beaucoup mieux le saké lorsqu'il est bu en pleine journée ensoleillé. Et je peux t'assurer que cet règle est confirmé.

Il leva lentement son verre a ses lèvres pour en boire une petite lampé, il reposa finalement son verre pour alors reformuler sa question préscedente a ses deux confrère, le sourire toujours sur les lèvres.

Alors ? Qu'est ce qui vous amène par ici ?

Shinji baîlla, et se passa la main sur le visage. Cela faisait bien longtemps qu'il était parti de sa grande demeure, et il n'avait passé que des nuits dans des auberges bidons. Il s'assist, se laissant presque tomber sur la chaise, et fit:

Shinji: La routine. En tant que chef d'une des plus grandes familles d'Osaka, je dois souvent aller négocier des achats, ou d'autres choses. Quand à Shin, mon jeune compagnon, il est ici pour... Pourquoi t'es venu déja? fit-il en se tournant vers Shin.
Shin: Je dois rendre visite à quelqu'un pour parfaire ma maîtrise du combat.
Shinji: Ouais, un truc ennuyeux quoi.

Shinji leva la tête et vit qu'une serveuse lui tendait un verre de Saké. Il le saisit, sourit à la serveuse qui rougit légèrement, et commença à boire lentement. Il fit:

Shinji: D'ailleurs, faudrait que je me trouve une Dame Himako. Un noble seul, à mon âge, c'est pas génial.

Il s'avança vers Ashido et lui tapota les côtes du coude:

Shinji: D'ailleurs, Dame Ayame t'a tapé dans l'oeil, non, frère d'armes?

Il eut un sourire ironique, lorsque soudain une série de cliquetis retentit dans la pièce. Une troupe armée venait d'entrer. Cinq soldats, vêtus de cottes de maille, armés d'une lance pour les sodlats, et d'un sabre pour leur capitaine, qui se distinguait en portant en plus une paire de cornes sur le devant de son casque. Le susdit capitaine déclama avoir eut vent de la présence de troupe de l'Empereur dans cette ville. Quelle nom pathétique pour les Shishi, pensa Shinji. Il seleva et s'approcha du capitaine. Ce dernier, itnrigué, lui ordonna de se rasseoir. Shinji lui demanda ce qu'il se passerait s'il était du Shishi. Le capitaine répondit qu'il serait éxécuté. Shinji sourit et tira Ten'shi no Shikyo, son sabre, au manche noir et à la lame argentée. Shin se tourna vers Ashido et fit:

Shin: Veuillez le pardonner, Ashido-san, Shinji-san ne peut s'empêcher de provoquer des combats.

Shinji esquiva un coup de lance et repoussa le soldat, tenant la troupe en respect. Visiblement, il attendait que Ashido se joigne à lui, pour vérifier son niveau.

Alric sourit en entendant ce petit bruit d'armure pénétrer dans l'auberge, ses informations s'étaient avérés une fois de plus des plus exactes, il avait parfaitement prévu son coup et avait attendu patiemment que ces soldat se pointe, il avait un message a faire passer a un capitaine des Shinsen Gumi, une petite a faire diplomatique, rien de bien important en somme. Il s'était donc mis a fixer Shinji droit dans les yeux, un petit sourire sur les lèvres avant de dire doucement.

Pile a l'heure.

Sur ce, Shinji, impatient d'aller taillader du soldat se leva sans hésité avant de tirer son arme par pur provocation envers les soldats. Alric soupira légèrement devant cet excès de zèle sanguinaire provenant de Shinji avant de sourire en entendant la petite remarque du jeune homme en face de lui. Alors comme ça, ce Shinji était impulsif, sans blague, comme s'il ne l'avait pas remarquer en le voyant se lever d'un bond tout juste après avoir entendu le petit discours du soldat, a vrai dire, il s'était presque sauter dessus, Alric ne put s'empêcher de sourire en rigolant légèrement a cette pensée. Notre jeune samurai hollandais se leva finalement avant de se diriger lentement vers son jeune compagnon, il était alors se placer a coté de lui, toujours ce petit sourire espiègle, voir vicieux, lui donnant un air de renard sadique. Sans détourner son regard de la troupe armée, il s'adressa alors a Shinji ouvertement de manière a ce que les soldats puisse eux aussi entendre.

Si tu pouvais garder ce bon vieux capitaine en vie je t'en serais très reconnaissant mon frère.

Il porta alors sa main au niveau du fourreau de sa cuisse droite pour en tirer sa lame la plus courte, il laissa alors pendre ses bras le long de son corps avant de dire ironiquement a son jeune frère d'arme, comme il l'aimait si bien l'appeler.

Je suppose qu'il est inutile de faire dans le détails...Soit, a toi l'honneur !

Ajouta il d'une voix plutôt enjoué en tendant courtoisement sa main devant lui pour inviter Shinji a passer devant.

Shinji hocha les épaules et répondit facétieusement à son frère d'armes:

Shinji: Le capitaine de la troupe? Dommage, je me voyais bien mettre sa tête en tant que couvre-chef et traverser la ville.
Capitaine: Êtes-vous fous? Pensez vous faire le poids contre une troupe d'élite deux fois plus nombreuses que vous?

Shinji fit un rapide calcul sur ses doigts et dit a Ashido qu'ils avaient droit à deux soldats chacun. Le capitaine, visiblement énervé, ordonna à ses troupes de lancer l'assaut. Shinji, à la demande expresse de son confrère, lança le bal en esquivant un coup de lance. Il cotnreattaqua d'un coup de sabre et trancha l'oeil du soldat. Ce dernier ptrta sa mainà son globe oculaire, tentant vainement d'étouffer le flot de sang. Shinji esquvia un coup de lance d'un autre sodlat, et bondit, se posant sur le manche de la lance. Il tituba et tomba en arrière. L'un des sodlats réservés à Ashido voulut le planter, mais Shinji esquiva d'une roulade et se releva du bond. Il pointa du doigt le soldat et lui fit:

Shinji: Sale tricheur! Toi, t'attends ton tour!

Le borgne lança un assaut maladroit, que Shinji para avant de lui trancher la tête. Il esquiva un assaut de son autre soldat, et lui trancha les mains, répandant du rouge sur le sol. Puis, il lui envoya un coup de pied dans l'estomac avant de lui trancher la gorge. Il sourit, essuya le sang qui avait giclé sur ses joues et alla s'asseoir, pour observer Ashido contre ses deux sodlats.

Alala, ce Shinji était décidément plein de fougue et semblait prendre les combats comme un petit jeu pour lui, il se fit lentement craquer la nuque en faisant aussi lentement que d'habitude basculer sa tête des deux coté de son coup, c'était une sorte de petit rituel qu'il entamait avant chaque fois qu'il s'apprêtait a combattre ou a faire une longue marche. Il avança finalement un peu sa jambe droite avant de s'accroupir légèrement, il sortit alors son fourreau de sa ceinture pour soudainement rengainer son épée et placer son fourreau toujours sur sa jambes gauches mais sans le repasser dans la ceinture. Un petit sourire confiant sur les lèvres, il regarda alors ses deux adversaire pour leurs demander d'une voix tout a fait ironique.

Si vous pouviez m'attaquez tout les deux en même temps maintenant cela m'aiderait beaucoup ^^

Il fit alors un pas en avant, toujours légèrement accroupi sur ses jambes, faisant reculer de peur les deux soldat, il soupira alors en voyant qu'aucun des deux ne souhaitait l'attaquer. Il resserra soudainement sa main sur l'épée, signe qu'il allait attaquer, effrayé, un soldat se mit a charger frénétiquement sur lui armée de sa lance, il envoya alors sa lance en avant pour tenter de perforer Alric au niveau du crane, choix peu judicieux. Il se contenta de pencher légèrement sa tête sur la droite pour esquiver la lance avant de se lancer a son tour vers le soldat, une fois arrivé a environ 3 pas de ce soldat, sans décéléré. Il dégaina alors, le coup avait été si rapide que son efficacité en était devenu mortelle et imparable, mais Alric n'allait tout de même pas dévoiler tous ses secrets, le soldat venait d'avoir le ventre totalement trancher malgré la cotte de maille sans avoir le temps de s'en rendre compte tandis que ses entrailles commençait d'ors et déjà a envahir le plancher. Toujours en pleine course suite a son accélération soudaine, il passa a coté du soldat a présent éventré pour alors foncé rapidement sur le dernier, celui effrayé dégaina alors une épée pour tenter de rivaliser. Il donna alors un coup d'épée vertical qu'Alric fut obligé de parer, ou du moins, c'est ce qu'il avait voulu lui faire croire, les deux épée s'entrechoquèrent donc tandis que notre jeune Samurai Hollandais venait de se rapprocher dangereusement de sa proie, il était a seulement une trentaine de centimètre de lui tandis que leurs épées lutter pour prendre le dessus sur l'autre. Son sourire s'intensifia alors faisant hurler de peur le soldat, il donna soudainement un violent coup de pied dans les jambes de celui ci pour alors le faire tomber et avant même qu'il n'ait le temps de toucher le sol le transpercé de toute sa lame verticalement, plantant ainsi celle ci dans le plancher.

Il se redressa alors lentement, laissant son épée ainsi planter, pour se retourner dans la direction du capitaine apeuré, son regard était devenu celui d'un assassin tandis que toute trace de sourire avait disparu. Il saisit alors la poigne de son épée pour la sortir de son socle de bois et de chair sans quitter du regard le vieux capitaine, il donna un coup de sabre dans le vide pour retirer tout le sang suintant a présent de sa lame avant de commencer a marcher lentement, très lentement dans la direction du dernier soldat. Il position alors son katana sur son épaule, le coté non tranchant en premier bien sur, tandis que son fourreau se trouvait toujours dans l'autre main pendante le long de son corps. Il s'arrêta alors a une cinquantaine de centimètre de lui, le dépassant d'au moins une tête de haut, il se pencha soudainement pour alors aller lui chuchoter tout doucement quelque mot d'amour a l'oreille, celui ci apeuré, acquiesça d'un hochement de tête sans même ajouter un mot. Alric repris alors son visage souriant habituel en le remerciant avant de s'en aller a sa table tandis que le vieux soldat se dépêchait de rentrer a son camp, visiblement le pantalon mouillé.

Il rangea finalement son fourreau a son emplacement habituel avant d'aller y loger sa lame, un silence lourd planait dans la salle suite a l'intervention des deux assassin, comme si le temps semblait s'être arrêté. Alric s'avança alors dans la direction de la table avant de se laisser tomber sur une chaise en soufflant de soulage.

Pfiou, c'était distrayant...Par contre, je vais encore devoir me payer les corvée en nettoyant le sol et les tables...

Shinji essuya son sabre sur l'un des corps, pour éviter que le tranchant ne s'abime à cause du sang. Aucun bruit ne retentissait dans la salle. Toutes les personnes présentes observaient Shinji et Ashido, terrifiées. Shinji fit:

Shinji: Bah quoi? J'ai un bouton c'est ça?

Il commença à se tâter le visage, cherchant à trouver son "bouton". Puis, il abattit son poing droit sur sa paume et dit qu'il avait trouvé.

Shinji: Mon exploit vous a laissé sans voix, pas vrai?

Il souleva l'un des corps et s'avança vers l'aubergiste. Il lui demanda s'il avait un endroit pour cacher ce truc, qui était particulièrement lourd. En effet, le soldat était petit et bedonnent. Au moins, il ne laisserait ni veuve ni enfant, pensa Shinji. Il ricana tout seul, portant sa main à sa bouche et plissant les yeux. Il arrêta lorsque le regard des clients devint gênant. Shinji balança le corps derrière l'auberge, dans les poubelles, et fit de même avec les autres. Il sortit quelques pièces de sa bourse et les laissa au tavernier en dédommagement. Puis, il s'assit à côté d'Ashido et il demanda à Shin pourquoi il n'avait pas participé. Le jeune homme fit:

Shin: Enfantin: 4 ne se divise pas par 3.

Shinji acquiesça, l'air stupide, et commença à balancer sa chaise en arrière. Il sifflota quelque chose, en observant le tavernier frotter le sol.

Alric n'avait pas eut le temps de se relever de sa table pour aller s'occuper des 4 macabés que déjà Shinji venait de tous les balancer dans un tas d'ordure derrière l'auberge, il commença à se gratter la tempe d'un air a la fois surpris et gêné de n'avoir même pu aider à accomplir sa propre tache. Une fois que le jeune homme eut payer l'aubergiste pour le dédommagement et revint s'assoir à la table, Alric le regarda dans les yeux, le sourire comme toujours habillant gracieusement son visage, pour alors lui dire.

Je crois que je te suis redevable pour cela.

Shinji après s'être installé c'était donc tourné dans la direction de Shin pour alors lui demander pourquoi celui ci n'avait pas participé au petit combat, celui ci s'était alors contenter de lui répondre d'un sérieux des plus surprenant, presque excessivement, qu'il y avait 4 soldats et que ce nombre n'était point divisible par 3, le pire la dedans pensa alors en Alric en ne rigolant qu'a moitié, tout en regardant Shin d'une manière a la fois surprise et désespéré, était que sa logique était imparable. Il répondit alors a la théorie de Shin par une réponse affirmative bien que dubitative et ironique.

Cela va de soi ^^'.

*Il pensait donc a ça... ?! *

D'un autre coté, en y repensant, il aurait été tout à fait possible de combattre équitablement 4 soldats à 3, si l'on comptait un soldat entier par personne ainsi que pour le dernier soldat un tiers de ce dernier pour chacun, l'on revenait alors a un partage parfaitement bien équitable. Il aurait bien exposait son avis lourdement ironique a ses deux confrère pour détendre un peu l'atmosphère bien que déjà très peu tendu, mais a vrai dire, il avait peur que Shin s'embrouille encore plus avec ses calculs et méthode de réflexion totalement foireuse. Cette petite parenthèse passer, il se resservi finalement un nouveau vers de Saké avant de le boire lentement, il reposa finalement la petite coupole sur la table avant de reprendre la parole en s'adressant a Shinji.

Pour en revenir où nous en étions...

Il rebut une nouvelle petite gorgée d'alcool avant de reprendre d'un air perplexe.

Je ne comprendrais jamais les nobles...

*Bien que j'en sois un, en vérité*

...Où est le mal a ne pas être marier a ton âge ? Surtout que tu es encore bien jeunes... Regarde moi, toujours aussi jeune et beau qu'a ton age et...

Il commença alors a baisser piteusement la tête tel un chien battu en se rendant compte de la dure réalité avant de reprendre d'une petite voix sans relever la tête.

...Toujours seul.

Il reprit cependant rapidement du poil de la bête en relevant sa tête, le visage ayant retrouvé la même énergie qu'il y a de cela 5-10 secondes.

Enfin ce que je veux dire c'est que t'a encore du temps devant toi avant de penser trop a ce genre de chose.

D'abord, Shinji écouta pensivement les paroels de son confrère, jusqu'au "Regarde-moi, toujours aussi jeune et beau qu'a ton âge..." D'abord, il commença à pouffer, puis finit par éclater de rire, abattant son poing sur la table et manquant de s'étofufer avec sa gorgée de sake. Puis, il reprit son sérieux et se tourna vers la porte de la taverne.

Shinji: Ah la la... Tu es étranger ou quoi? Les guerriers se doivent d'avoir une épouse, pour assurer leur descendance.. Même si mon père n'était qu'un paysan, ma mère à fait fortune...

Puis, il se retourna et adressa un sourire à la serveuse qui détourna le regard. Puis, il se tourna vers Ashido et fit:

Shinji: Au fait, le combat nous as distrait, mais je venais de dire quelque chose: Dame Ayame t'a tapée dans l'oeil, hein? T'as de bons gôuts, mon cher.

Shinji balança sa chaise en arrière et commença à triturer sa ceinture. A côté de lui, Shin se leva et demanda s'il pouvait se rendre chez son entraîneur. Shinji, conaissant le sens de l'orientation déplorable du jeune homme, lui interdisit, car ce n'était pas dans son intéret qu'il ne se perde. Puis Shinji déclara que Shin devait attendre et commença à se gratter une piquere d'insecte au niveau du coude. Puis, il se tourna vers Ashido, attendant sa réponse au suejt d'Ayame, la dirigeante de Satsuma.

Alric écouta patiemment les propos de son compagnon en acquiesçant, il était vrai que dans ce pays, l'honneur était de mise et que comme l'avait si bien dit Shinji, il était nécessaire de posséder une descendance pour être sur de perpétuer l'honneur familial. D'autant plus que ceci devait être d'autant plus primordial lorsqu'on était un noble, il était tout de même amusant de constater ainsi les différence de mentalité selon les pays et continent. Dans sa patrie natal, les parent misait beaucoup plus sur l'éducation de l'enfant que sur l'honneur. Alric commença alors a se balancer a son tour sur sa chaises, les mains derrière la tête d'une manière plutôt décontracté pour alors s'adresser a Shinji d'une voix observatrice.

Ma foi...Si maintenant tu désir tant te marier, fais le le plus tôt possible....Les temps a venir seront surement de plus en plus dur avec la rébélion qui se prépare...

Il se resservit lentement a nouveau un énième verre de saké qu'il engloutit plutôt sèchement en penchant d'un coup sa tête en arrière. Cela avait beau être le dixième ou le vingtième verre qu'il buvait depuis son arrivé, Alric ne semblait toujours pas saoul, il était plutôt résistant a l'alcool pour ne pas dire très résistant, cela devait surement venir de ses gène nordique. Il reprit alors la parole pour continuer son explication.

Il ne serait pas impossible que l'un de nous voir nous trois mourions assassiné d'ici demain, si tu veux laisser un héritiers derrière toi...c'est maintenant ou jamais.

Il se resservit a nouveau une coupole de saké pour commencer a la boire lentement histoire de savouré l'alcool encore plus quand Shinji se mit a demander subitement s'il avait raison en précisant que la dame Ayame, sa superieur hiérarchique, lui avait comme il le disait si bien "taper dans l'œil". Ma foi surpris sans pour autant le montrer, un fin sourire espiègle apparaissait lentement sur sur son visage, quasi-imperceptible, il hésita alors a se forcer a s'étouffer avant de cracher tout l'alcool sur Shinji se trouvant en face de lui. Il succomba finalement a la tentation en crachant tout l'alcool se trouvant dans sa bouche sur le jeune blondinet en face de lui, simulant un étouffement ma foi fort bien réussi. Rien a dire, Alric était décidément un parfait comédien.. Le jeune visage de Shinji a présent a face de lui était complètement recouvert de saké tandis qu'Alric ne cessait de simuler de tousser alors que Shin a sa droite commençait a lui tapoter le dos pour l'aider a se reprendre. Alric arrêta finalement de tousser en remerciant Shin a coté de lui, le visage toujours aussi inexpressif que d'habitude.

Pardonne moi, il semble que ce soit passé de travers...Sinon tu disais ?

Demanda alors Alric en jouant le parfait innocent après avoir relever son visage pour fixer Shinji dans les yeux, un brin de malice dans le regard mêlé a un sourire innocent et gêné. Il prépara alors un nouveau verre de saké qu'il recommença lentement a déguster. Toute personne connaissant un tantinet Alric aurait compris qu'il s'agissait là d'une sorte d'avertissement pour ce qu'allait dire Shinji cette foi ci, le problème était que en vérité, personne ne connaissait vraiment Alric, ils ne connaissaient de lui que ce qu'il voulait qu'ils connaissent de lui.